Merci beaucoup pour la réponse rapide.
Coincidence, car je suis justement dans le coin. ;)
Oui, mécaniquement c’est bien mais.....
Nous planifions une maison avec un toit en pente, et sur la moitié la plus grande photovoltaïque et tubes sous vide. Surface de toit entièrement occupée.
Ce serait globalement le sujet d’un conseil spécialisé. Juste autant dire : une installation solaire thermique est dans très peu de cas d’utilisation privée (maison individuelle...Groupe allemand de maisons préfabriquées) effectivement rentable.
Pourquoi les installations solaires thermiques sont néanmoins souvent utilisées, le mieux le sait le rédacteur de la réglementation énergétique - ou le justificatif KfW. En utilisation commerciale avec une consommation continue d'eau chaude, c’est tout autre chose. Là , les installations solaires thermiques ont aussi un sens économique évident. J’arrive ici à environ 30 % d’utilisation de l’énergie solaire reçue, tandis que dans le domaine privé, selon l’utilisation, environ 6...7 % sont effectivement exploitables. C’est pourquoi, pour un usage privé, il n’est pas déplacé de mettre l’accent sur le photovoltaïque. Ici, les problèmes de l’utilisation thermique de l’énergie solaire (résistance du stockage thermique) peuvent être largement évités.
Le DN d’un toit en pente est naturellement plus faible que l’angle d’inclinaison optimal pour le photovoltaïque ou une installation solaire thermique. En exploitant complètement la surface projetée au sol, il en résulte donc inévitablement une ombrage partielle des modules ! Une règle raisonnable d’espacement est donc en réalité donnée. En ce sens, il y aurait déjà de la place pour une solution mécanique. Le cas le plus simple serait : une trappe de sortie et, si nécessaire : un balai à la main. Un chauffage technique annulera en général l’investissement (bilan).
v.g.