Et je connais des situations décrites ci-dessus dans l’entourage familial et professionnel sans plainte. La question de la proportionnalité doit être acceptée par chaque employé de l’ARGE. Et en tant que bénéficiaire du H4, on se fait même payer les frais de procès ou alors PKBH. Il existe des requêtes en urgence en droit social, où l’affaire est jugée dans un délai de 14 à 21 jours. Les avocats spécialisés en droit social ne connaissent aucune pitié à ce sujet, notamment quand il s’agit de contenus indispensables à la vie.
Ne vous méprenez pas, je ne suis pas fan de cela, mais ce qui est juste doit rester juste, et en tant que contribuable, je ne suis de toute façon pas ravi que d’autres personnes vivent à mes frais. Mais c’est ainsi, et j’attends de chaque fonctionnaire qu’il fasse preuve de mesure et de bon sens, surtout dans ce contexte, même si cela est difficile. Si je peux maintenir la situation actuelle avec un coût X, mais que toute autre demande entraîne un coût de X + Y, plus des frais uniques pour un déménagement ou autre, alors la personne doit simplement continuer à vivre là.
Autre exemple :
Une étudiante diplômée fait une demande temporaire de H4 (il n’y a pas d’ALG, elle n’a jamais travaillé), elle a la promesse d’une entreprise qu’elle commencera dans 4 mois. Le loyer est de 40 euros au-dessus du taux « autorisé », mais comprend une cuisine équipée par le bailleur. L’administration ne reconnaît pas ce taux de loyer et veut payer 40 euros de moins, sachant qu’un contrat de travail est signé. En conséquence, le bailleur propose à la locataire de reprendre la cuisine d’occasion pour 500 euros. Ces frais doivent être payés car il existe un droit fondamental à une cuisine. Que ce soit dans l’appartement actuellement habité ou dans un nouvel appartement. En résumé, l’administration a deux possibilités : payer 4x40 = 160 euros de « loyer trop élevé » ou payer une fois 500 euros pour la cuisine.
J’attends ici qu’on choisisse ces 160 euros et non les 500 euros. Le bon sens l’exige.