11ant
25.04.2017 18:11:48
- #1
Je ne pense pas que le mur de hauteur sous pente puisse être indéfiniment grand.
Inversement : si ce n’est pas le cas, comment le dernier étage pourrait-il alors être un étage complet ?
Il faut pour cela que la barre d’un étage complet soit dépassée. Cela nécessite toutefois un mur de hauteur sous pente assez important.
Si, car tu nous dois la réponse à la question du demandeur.
Forcément, puisque je ne suis pas le responsable du service urbanisme. J’ai moi aussi, de manière assez similaire à toi,
Le type de construction "villa urbaine" est exclu par le plan d’occupation des sols, car le 2e étage n’est pas un étage sous combles. Cela deviendrait-il un étage sous combles si je supprimais simplement la dalle entre l’étage et la charpente ou si je faisais commencer la charpente à 2,45 m ?
spéculé que l’étage à la fois complet et sous comble pourrait naître de telles sous-toitures ouvertes. Cependant, j’ai abandonné cette idée à cause de la pente minimale de 28°, car pour moi cela représente d’une part une « limite supérieure », et d’autre part cette pente tend à vouloir permettre une hauteur debout dans le comble.
C’est pourquoi je suis passé à une autre hypothèse, plus probable à mon avis, à savoir qu’il ne puisse y avoir au-dessus « aucune surface habitable » au sens du règlement d’utilisation des sols. Mais
Je trouve la question très intéressante et tout à fait digne d’être débattue.
et ce serait le mieux si le demandeur obtenait un avis officiel de l’organisme compétent. Car si nous apportons des jugements divergents, cela provoquera probablement plus de confusion que d’éclaircissement. Pour cela, il faut un « compétent » — des « gens informés » (en plus avec des parcours et opinions différents) ne suffisent pas.
De quelles disputes parles-tu ? Je trouve intéressant de voir avec quelles exigences peu pratiques certains urbanistes rendent la vie difficile aux maîtres d’ouvrage, architectes et autorités de permis.
Par disputes, j’entends quand différentes opinions sont affirmées avec la même certitude. Et le demandeur n’y gagne surtout qu’en incertitude :-(
L’un des intervenants est ingénieur géomètre, qui est au moins du domaine voisin. Un autre est consultant en entreprise, qui sont au moins stéréotypiquement supposés avoir de l’expérience inversement proportionnelle à leur avis — mais là non plus, on n’est pas toujours sûr. Et d’autres suivent, et le demandeur aimerait crier : « Balais, balais, vous êtes partis ! »
Seule la personne qui a inventé cet « étage sous comble complet » (ou « étage comble complet ») peut vraiment trancher. Cette personne doit bien savoir quelles idées l’ont guidée.
Pourquoi ne pas avoir simplement fixé des hauteurs minimales et maximales de l’égout et de l’arêtier ?
Cela aurait été, si l’on ajoutait aussi le coefficient d’emprise au sol ou le volume bâti, de mon côté, le plan d’occupation idéal et proportionné. Il n’est pas nécessaire pour la paix dans la zone constructible de faire encore ce genre de sottises, comme établir des catalogues de plantes de jardin avant (bien sûr dans l’horizon botanique du conseil municipal).