Orschel
07.03.2012 15:27:59
- #1
Dans l'ensemble, cela ne paraît pas très rose au niveau des coûts
Non, ce n’est effectivement pas rose ! Pourtant, je ne suis absolument pas prêt à payer 2 000 € s’il s’agit vraiment seulement de l’attestation de protection thermique !
L’attestation est toujours le plan général, rien de plus. Il est impossible de juger à distance si un ingénieur structure a réellement choisi la solution la plus judicieuse. Pour cela, il faudrait, du point de vue de l’état des bases, déterminer les besoins réels en fonction de la substance choisie pour la construction, du site climatique et du comportement des utilisateurs. À partir de ce besoin réel, on peut en déduire, en rapport avec la solution technique respective pour le chauffage, la production d’eau chaude sanitaire, le LtM, la consommation réelle attendue. Seul cet examen permet une évaluation fiable des investissements nécessaires respectifs.
Le HB peut au mieux utiliser dans l’attestation la géométrie des éléments et les valeurs U des composants, si une ventilation contrôlée des pièces m/o récupération de chaleur est présente, les quantités d’air déterminées selon le plan des débits d’air conformément à la DIN 1946-6, ainsi que le concept imposé par l’attestation (générateur de chaleur etc.) pour ses calculs !
Entre-temps, j’ai aussi lu pas mal dans des forums spécialisés en planification de chauffage et partout il est recommandé de ne pas choisir un chauffage uniquement sur la base du certificat énergétique, car celui-ci ne contient pas tous les détails ! Merci déjà pour cette remarque ici.
Le calcul des charges thermiques selon DIN 12831 n’est pas suffisant à lui seul, en particulier si des appareils à condensation, des pompes à chaleur ou des chaudières à pellets sont envisagés comme générateurs de chaleur.
Les installations de chauffage modernes peuvent être très efficaces, mais seulement si une dimension complète et exhaustive/ un calcul de tous les composants est disponible. Cela inclut notamment les surfaces de chauffage et par exemple l’hydraulique de l’installation.
Avec un feu de camp à ciel ouvert, ce n’est cependant pas nécessaire !
OK, après diverses études sur Internet, j’ai lu pas mal de choses qui montrent que le calcul de la charge thermique selon DIN 12831 est important. Je pense que cela a aussi du sens car on y indique plusieurs autres informations, comme tu l’as déjà écrit ci-dessus.
S’il ne suffit pas non plus, peux-tu me dire ce qui, en plus du passeport énergétique et du calcul de la charge thermique, est nécessaire pour choisir la puissance de chauffage ?
Il est désormais connu que les maîtres d’ouvrage se font rouler dans la farine concernant la technique d’installation lors de projets avec un entrepreneur général. Pour une planification plus coûteuse avec un architecte libre, on ne devrait pas s’y attendre. Apparemment, ici on fait de « l’argent rapide » aux dépens du maître d’ouvrage.
Ça m’étonne honnêtement aussi, surtout que l’architecte n’a rien à gagner à ce qu’une mauvaise chaudière soit installée. OOK, le chauffagiste pourrait avoir l’avantage s’il installe un chauffage trop puissant à cause d’un mauvais calcul… Comprendre cela en tant que profane n’est définitivement pas facile…