38° au lieu de 35° DN apportent, pour une profondeur de maison de 10 (9) m, 40,5 (36,5) cm de hauteur en plus au faîtage (attention : pas seulement pour se tenir debout, mais aussi pour la maison !). La ligne des 2 m se rapproche ainsi d'environ 30 cm du mur de la maison. Avec un muret d’appui de 1,20 m, la ligne des 2 m se situe à environ 1,02 m du mur de la maison pour un DN de 38°. Pour une profondeur de maison de 10 m, cela signifiait déjà une zone des deux mètres d’une profondeur de 7,95 m et donc : alerte plancher complet !
Cela me donnerait envie de recalculer si on ne pourrait pas prendre directement le DG (avec 40° DN) comme étage supérieur.
Je considère superflue une installation de chauffage au sol sur une surface où traînent quelques haltères avec des vêtements de sport pour la prochaine bonne résolution du Nouvel An.
Au moins si l’on veut un muret d’appui pour plus de surface utile, une construction de toit limitant la hauteur sous plafond ne me semble pas appropriée.
Selon les hauteurs autorisées sur le terrain, je commencerais par déterminer combien sera « consommé » pour adapter le bâtiment au terrain. Le muret d'appui devient souvent alors un petit muret.
Plus on a d’utilisations du grenier allant au-delà du simple stockage de décorations de sapin de Noël, plus il est conseillé d’amener un escalier « complet » jusque là. Si cela doit se faire par la prolongation de l’escalier jusqu’à l’étage supérieur et que l’on ne veut pas laisser l’aménagement de l’escalier dicter la configuration du DG, on peut, si besoin, obtenir la hauteur sous plafond nécessaire par une lucarne, sans pour autant devoir doter tout le toit d’un muret d’appui.
Les pièces non habitables offrent beaucoup de potentiel pour du travail en auto-construction – plaques de plâtre, cales d’isolation & co. sont le bonheur des bricoleurs.