Planification de l’éclairage : Mon expérience personnelle est que les électriciens pensent pouvoir le faire facilement et seuls, ce qui est tout à fait faux. Ce plan me crie presque dessus, je ne suis pas électricienne.
Il y a quelques règles de base :
- En vieillissant, tu as besoin de plus de luminosité. Combien exactement, c’est le planificateur d’éclairage qui doit le savoir et bien le faire.
- Éclairer les coins, l’humain perçoit ce qui est lumineux, le reste de la pièce est pratiquement effacé par le cerveau. Il y a des études avec une table à manger dans une pièce et des invités autour. On a enregistré les parcours. Lorsque les coins étaient éclairés, par exemple avec une lampe sur pied ou un luminaire Up/Down, ils étaient utilisés et visités. Avec une bande lumineuse au-dessus de la table, les gens restaient toujours dans ce qu’on pourrait appeler le cône de lumière.
- Éclairages adaptés aux situations, s’il y a plus d’une situation, il faut plus d’un éclairage.
- Décentralisé, adapté aux habitudes de vie. Ont-elles été demandées ?
- Sans éblouissement.
En tenant compte de cela, on peut d’ailleurs économiser beaucoup d’électricité et de luminaires. J’ai vu des exemples où les coûts d’éclairage se réduisaient de moitié sans que les utilisateurs ne manquent de luminosité.
Bien que j’aie déjà suivi des formations professionnelles en planification de l’éclairage, nous avons finalement engagé une maison de lumière. Cela en valait la peine ! Bien sûr, l’électricien un peu vexé pensait que nous aurions pu l’avoir facilement aussi de lui. Avant, on avait une ampoule centrale au milieu, maintenant l’électricien fait pratiquement la forme modernisée de cela, de belles bandes symétriques tracées. Cela ne relève pas de la planification d’éclairage !
Bien à vous, Gabriele