Achat de terrain et construction de maison dans la situation actuelle - expériences

  • Erstellt am 07.11.2024 14:04:10

nordanney

08.11.2024 13:46:43
  • #1

Tu parles en €. Donc je me réfère bien sûr aussi à €.

Tout ce que tu écris n’a d’ailleurs rien à voir avec le sujet des « prix de l’immobilier en chute ». Si tu as quelque chose de pertinent à apporter à ce sujet (autre que l’exemple d’un bien immobilier dans un coin perdu où personne ne veut habiter, présenté comme un exemple représentatif du marché immobilier), alors volontiers. Le reste de ce que tu écris, je ne le lis plus de toute façon.

LOL – juste une petite déclaration tirée des rapports de marché :
Localisation : Thuringe. Le taux de vacance des logements y est actuellement d’environ 6,3 %, ce qui est supérieur à la moyenne nationale de 4,3 %.
Dans les régions rurales défavorisées en dehors des villes, il est particulièrement élevé (bien au-delà de 10 %) – changement démographique, faible demande – la demande n’existe que dans les villes.
 

Buchsbaum066

08.11.2024 13:56:17
  • #2


Dans les zones rurales, il y a presque pas de logements vacants. Ce sont surtout les jeunes familles qui achètent ici des maisons abordables. Mais on ne peut pas le savoir quand on habite à Düsseldorf et que l'on connaît l'Est seulement par les rapports de marché.

Mais où est donc la pénurie de logements en Allemagne, s'il y a autant de logements vacants comme en Thuringe ? Pour un réfugié ukrainien qui perçoit le Bürgergeld, cela devrait être à peu près égal où il habite en Allemagne.
 

MachsSelbst

08.11.2024 15:42:36
  • #3
Saale-Unstrut. Oh là là. Existe-t-il encore une région économiquement plus faible ?
À part un Dornfelder moyen et un Spätburgunder, la région n'a rien à offrir.

Pour 180 000 EUR, on ne peut même plus obtenir un terrain à Halle, Magdebourg ou Chemnitz.
 

nordanney

08.11.2024 17:39:43
  • #4

Tu dois bien le savoir...

Tu dois demander aux Düsseldorfois et pas à moi.

Peut-être, demande aux Düsseldorfois.

Là où les gens veulent vivre. Pas là où il y a des terres mortes et pas d'avenir. Tu comprends pourquoi nous avons autant de réfugiés ici à l'Ouest (venus des nouveaux Länder) ? Réfléchis pourquoi dans quelques années la Thuringe aura perdu la moitié de ses habitants (par rapport à 1990). Ce sont tous des « réfugiés économiques ».
 

ypg

08.11.2024 23:45:38
  • #5

C’est bien de réfléchir de temps en temps aux risques. Mais il ne faut pas devenir fou. Il y a toujours une solution, un plan B ou des options.
Imaginez que vous ayez la mentalité de Fene, alors autant vous faire incinérer tout de suite.

On ne peut pas s’assurer contre la vie et ne pas la vivre – sauf si on le veut, alors il faut vivre la vie des autres et léguer ses économies avec une main froide ou partir sans rien.
La perte (travail, enfants, mariage ou maison) fait mal, mais il n’y a aucune raison de ne pas se marier, de ne pas avoir d’enfants ou de ne pas construire une maison.

Peut-être devrais-tu relire correctement le post initial, car il s’inquiète justement. C’est la raison pour laquelle il a posté ici. Avec ton message, tu es à côté du sujet. 6 ! Assis !
 

Padebau

09.11.2024 10:45:23
  • #6


Merci pour ton message et à tous les autres aussi ! C’est précisément avec cet argumentaire que nous avons initialement abordé le sujet de la construction de la maison. Maintenant que cela est sur le point de devenir vraiment réel, nous voulons simplement nous assurer qu’on ne porte pas des lunettes roses, qu’on ne se fait pas de belles illusions et qu’on ne refuse pas la réalité. Mais cela nous rassure que la plupart d’entre vous partagent notre point de vue, celui de saisir l’opportunité.

Comme vous l’avez tous déjà dit : on ne peut pas prendre en compte toutes les éventualités et événements négatifs dès le départ dans le calcul, sinon il vaut mieux abandonner le projet tout de suite. L’important est de réduire les risques, surtout financiers, et d’aborder le sujet avec une planification saine, alors des solutions devraient apparaître pour de nombreux événements.
 
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