Financement - Contrat de prêt signé

  • Erstellt am 14.07.2016 16:01:47

Elina

16.07.2016 14:32:41
  • #1
Hm, juste en termes de maison+terrain, on arrive aussi au 4,5 fois, mais la rénovation... plutôt le 6 fois. Parce que c’était tellement bon marché. La banque nous aurait aussi donné le double, mais mon mari avait déjà une peur extrême des dettes incroyablement élevées. J’avoue, moi ça m’était égal. Même si ça avait complètement échoué, je n’aurais jamais pu tomber plus bas que là où j’ai vécu toute ma vie avant, donc absolument aucun risque. Aujourd’hui je vois ça différemment, aujourd’hui on a quelque chose à perdre.
 

tabtab

16.07.2016 17:43:11
  • #2
: d'accord, alors vous pouvez vraiment dormir tranquille. Avec l'immeuble en arrière-plan, c'est alors très solide. Ce n'était simplement pas connu. De quel coin de S viens-tu ?
 

Jazz089

19.07.2016 15:54:08
  • #3

Eh bien, être rassuré est une autre chose, j'aimerais avoir moins de dettes, mais ce n'est pas comme si je ne pouvais plus dormir. Mais c'est quand même bon à savoir que nous avons quelque chose en réserve. Sinon, nous ne ferions pas ce genre de choses.
À l'origine, nous venons d'Esslingen
 

DG

26.10.2016 14:25:25
  • #4


Je n’accorde pas beaucoup d’importance à ce genre de valeurs indicatives, si l’on veut en déduire que quelqu’un qui dépasse ces valeurs ne devrait pas construire ou que cette personne est en situation de surendettement sur la base d’une telle valeur.

Ce sont des valeurs indicatives extrêmement grossières, que l’on peut appliquer éventuellement pour des revenus « normaux », c’est-à-dire des statuts salariés moyens et des régions avec des valeurs foncières standards - cela ne fonctionne pas dans les zones urbaines denses, pour des indépendants et des constructeurs de maisons avec un bien locatif sans dette ou des revenus supérieurs à la moyenne, ce que l’on observe d’ailleurs régulièrement ici.



Bah - selon la manière dont on calcule, je suis encore (ou j’étais) au-dessus du 4 de . Ce que Steffen écrit semble parfois assez présomptueux pour certains, mais on peut aussi se poser la question si c’est vraiment le cas ou bien qui effectivement court le plus grand risque.

Mon conseiller bancaire, en tout cas, n’a pas de nuits blanches et si c’est le cas, ce n’est pas de ma faute.

Cordialement
Dirk Grafe
 

Traumfaenger

28.10.2016 22:37:45
  • #5


Je ne peux que confirmer. Le modèle d'affaires des indépendants fonctionne complètement différemment, tout comme les relations dans les zones urbaines denses sont très différentes. L'employé a chaque mois plus ou moins le même revenu et toutes les déductions sont effectuées immédiatement et toujours en montant constant. L'indépendant a des revenus et des dépenses plus ou moins variables. Les acomptes d'impôts ainsi que les paiements supplémentaires s'élèvent généralement à cinq chiffres et doivent être réglés sous 14 jours, des coûts imprévus peuvent survenir à tout moment. Je crois que tout employé se sentirait mal s'il devait gérer du jour au lendemain à la fois les revenus et les dépenses d'un indépendant. Ce sont deux mondes et profils de risque complètement différents et à mon avis pas du tout comparables.

Je ne pense pas qu'il soit possible de faire une déclaration générale, semblable à une règle d'or de bilan, indiquant qui peut supporter quelle dette ou ce qui est optimal. Cela doit être calculé et évalué par chacun lui-même.
 

toxicmolotof

28.10.2016 22:53:20
  • #6


Puisque tu parles justement de ne pas généraliser, je te prie aussi d'y faire attention toi-même.

Il y aurait des employés dont le travail consiste à gérer une activité indépendante.
 
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