Oui, c’est ce que je pensais aussi, mais peut-être que ce sera le cas seulement la deuxième fois. Après tout, je ne suis pas un expert fiscal et j’agis selon ma meilleure conscience. Bien que l’on dise aussi que l’ignorance ne protège pas contre la sanction...
Mais quoi qu’il en soit
Ne t’inquiète pas. Tu peux déclarer n’importe quelle bêtise. Le pire qui puisse arriver, c’est que ce soit rayé. L’année suivante, tu peux à nouveau déclarer la même bêtise et cela serait encore au maximum rayé. Il n’y a pas de sanction.
Par contre, si tu loues et que tu ne déclares pas, c’est une autre histoire.
L’amortissement est terminé et ne recommence pas dans ton cas, car fiscalement, en ce qui concerne l’annexe V, il est considéré comme un acquérement gratuit.
Alors enlève ça dès maintenant dans le calcul en cours. Mieux vaut compter sur le pire des cas que sur le plus favorable.
Maintenant, il nous faudrait encore quelques informations du posteur et un spécialiste fiscal.
Quelle est la valeur compensatoire ? Peut-on diviser le transfert en une partie onéreuse et une partie non onéreuse ? Depuis quand l’appartement est-il la propriété du « vendeur » ?
Quelles informations manquent encore ?
Pour l’instant, je calculerais comme suit
Revenu locatif hors charges par an = 12 000 €
- Intérêts du crédit = 600 €
- Cuisine = 1 200 €
- Administration, compte locatif, entretien, déplacements au bien = "pas encore connu" €
- Paiement compensatoire = 3 600 € (pas encore sûr que ce soit valable)
L’argent du crédit, par exemple, je l’ai aussi utilisé pour une nouvelle salle de bain. Puis-je déduire la douche, la baignoire, les WC ainsi que les carreaux ? Je suppose que le revêtement de sol ne peut pas être défini comme une dépréciation ?
Qu’en est-il de l’électricité, est-ce valable selon l’amortissement (AfA) ?
Isolation de la toiture ?
Je devrais pouvoir déduire « tout » car cela compte pleinement dans la valeur de l’appartement, non ?