nix zu schwör
21.05.2019 13:02:18
- #1
J’ai moi-même proposé pendant des années un tel modèle économique.
Cependant avec l’accent sur la rénovation à prix fixe subventionnée par la KfW avec surélévation et extension. Éventuellement aussi des constructions neuves.
Tous étaient cependant des « entrepreneurs en auto-construction ». La loi connaît « l’entrepreneur non professionnel de travaux de construction ».
Les deux termes sont connus de presque tous les maîtres d’ouvrage qui réalisent des travaux en propre et face auxquels la caisse d’assurance professionnelle intervient.
C’est-à-dire que j’ai pris en charge avec mes propres artisans ou des entreprises régionales tout ce que le maître d’ouvrage lui-même ne se sentait pas capable de faire. J’ai moi-même toujours aussi travaillé avec, car j’ai toujours aimé exercer mon métier d’artisan.
Et bien sûr, on travaille avec des entreprises que l’on connaît depuis des années ou, en ce qui concerne la technique du bâtiment, avec des entreprises régionales, afin qu’en cas d’urgence une réaction rapide soit possible. Ou des entreprises bien connues du maître d’ouvrage.
Comment un architecte est-il positionné, il le sait par son inscription à la chambre. Fondamentalement, deux formes sont possibles ici : libérale ou commerciale.
Le CCTP est aussi ici juridiquement correct et clair. Car les caractéristiques des éléments de construction ne sont fixées qu’avec les justificatifs correspondants avant le début des travaux. C’est-à-dire que les prix sont un risque entrepreneurial en cas de prix fixe. Cependant, toute personne ayant un peu d’expérience pourra se baser sur ses propres prix unitaires pour la calcul.
Dans le neuf, ce n’est de toute façon pas un problème, du moins tant que la maîtresse d’ouvrage ne se tient pas sur la dalle et ne proclame pas que la maison est bien trop petite et qu’elle l’imaginait beaucoup plus grande.
OK, le moment où les maîtres d’ouvrage comprennent mentalement à quel point ils doivent être résistants pour les travaux en propre. Mais c’est un autre sujet,...
Comme je suis moi-même « old school », je n’ai pas eu le temps de rédiger de longs contrats. Je ne peux ici que conseiller à chacun de demander des références et de parler avec les anciens maîtres d’ouvrage, à condition qu’il ne s’agisse PAS de maisons témoins. Rétrospectivement, 95 % de mes projets ont été des recommandations/bouche-à-oreille des maîtres d’ouvrage.
De plus, il y aura rarement un maître d’ouvrage qui ne connaît pas une histoire sur son projet de construction et qui ne l’aime pas raconter.
Cependant avec l’accent sur la rénovation à prix fixe subventionnée par la KfW avec surélévation et extension. Éventuellement aussi des constructions neuves.
Tous étaient cependant des « entrepreneurs en auto-construction ». La loi connaît « l’entrepreneur non professionnel de travaux de construction ».
Les deux termes sont connus de presque tous les maîtres d’ouvrage qui réalisent des travaux en propre et face auxquels la caisse d’assurance professionnelle intervient.
C’est-à-dire que j’ai pris en charge avec mes propres artisans ou des entreprises régionales tout ce que le maître d’ouvrage lui-même ne se sentait pas capable de faire. J’ai moi-même toujours aussi travaillé avec, car j’ai toujours aimé exercer mon métier d’artisan.
Et bien sûr, on travaille avec des entreprises que l’on connaît depuis des années ou, en ce qui concerne la technique du bâtiment, avec des entreprises régionales, afin qu’en cas d’urgence une réaction rapide soit possible. Ou des entreprises bien connues du maître d’ouvrage.
Comment un architecte est-il positionné, il le sait par son inscription à la chambre. Fondamentalement, deux formes sont possibles ici : libérale ou commerciale.
Le CCTP est aussi ici juridiquement correct et clair. Car les caractéristiques des éléments de construction ne sont fixées qu’avec les justificatifs correspondants avant le début des travaux. C’est-à-dire que les prix sont un risque entrepreneurial en cas de prix fixe. Cependant, toute personne ayant un peu d’expérience pourra se baser sur ses propres prix unitaires pour la calcul.
Dans le neuf, ce n’est de toute façon pas un problème, du moins tant que la maîtresse d’ouvrage ne se tient pas sur la dalle et ne proclame pas que la maison est bien trop petite et qu’elle l’imaginait beaucoup plus grande.
OK, le moment où les maîtres d’ouvrage comprennent mentalement à quel point ils doivent être résistants pour les travaux en propre. Mais c’est un autre sujet,...
Comme je suis moi-même « old school », je n’ai pas eu le temps de rédiger de longs contrats. Je ne peux ici que conseiller à chacun de demander des références et de parler avec les anciens maîtres d’ouvrage, à condition qu’il ne s’agisse PAS de maisons témoins. Rétrospectivement, 95 % de mes projets ont été des recommandations/bouche-à-oreille des maîtres d’ouvrage.
De plus, il y aura rarement un maître d’ouvrage qui ne connaît pas une histoire sur son projet de construction et qui ne l’aime pas raconter.