Définition des clôtures

  • Erstellt am 02.09.2017 15:52:21

Chriscross

05.09.2017 07:28:22
  • #1
Ceux qui veulent jeter un coup d'œil au [BauPlan] (Es lohnt sich) peuvent le faire volontiers. Il suffit de taper sur Google "Wohnen am Mühlenbergesee". J'ai déjà entendu de beaucoup que c'est l'un des plans d'aménagement les plus fréquents, en ce qui concerne la construction et les clôtures.
 

Chriscross

05.09.2017 07:32:38
  • #2


Ceux qui ont remblayé sont détestés. L'administration a été contactée de toutes parts, mais personne ne se sent vraiment responsable et renvoie la patate chaude. Administration --> Ingénieurs --> Ville --> Service de l'urbanisme --> Conseil local --> Vendeur --> ... La situation est un peu embourbée ici. Chez certains, le terrain opposé est aussi pentu que l'envers du toit du voisin. Je pense que ce n'est pas le but des choses.
 

ypg

05.09.2017 08:14:53
  • #3
Un remblaiement et sa retenue, par exemple avec des pierres en L, n’ont rien à voir avec une clôture.
 

Alex85

05.09.2017 08:43:33
  • #4
Après avoir vu le plan, je comprends encore moins le problème. Qui délimite quoi à qui et a remblayé ? Vers l’« arrière » en direction de A et B, il n’y a pas de problème car B n’appartient à aucun propriétaire privé, donc il s’agit du voisin juste à côté ? Cela me perturbe car cette disposition en V ne joue alors aucun rôle, mais tu t’es donné la peine de la décrire avec des mots.

Les limitations de hauteur existent sous forme d’exigences concernant le nombre d’étages combinées avec les hauteurs de faîtage et le point de référence de la hauteur moyenne de la voie de circulation adjacente. Tout cela est plutôt clair. À aucun endroit je ne vois quelque chose qui empêcherait le remblayage du voisin dans ce cadre. Pour les règles relatives aux remblaiements, tu consultes la loi sur le voisinage de ton [Bundesland].

Si quelqu’un avait prévu par exemple, pour des raisons esthétiques, d’interdire les remblaiements, il a omis de le faire. Tant pis pour ceux qui trouvent cela inesthétique et pensaient que c’était réglementé. Cela dit, c’est leur faute, le plan date de 2006, assez de temps pour remarquer l’absence d’une telle réglementation.
Le plan n’est à mon avis pas si compliqué non plus. Il est peut-être complexe en raison des différentes zones et des règles spécifiques qui s’y appliquent. Celui qui construit une maison là-bas peut largement faire abstraction, car cela ne concerne pas sa propre zone.
 

Chriscross

05.09.2017 09:24:36
  • #5


Si ! La surface B nous appartient en tant que maîtres d'ouvrage. Nous ne devons simplement pas clôturer cette zone. C'est pourquoi j'ai dit que le plan d'urbanisme était amusant à lire.



Et justement parce que la surface B, contrairement à ce que tu penses, appartient au maître d'ouvrage respectif, on ne peut pas l'ignorer.

Pour revenir à la complexité du plan d'urbanisme. Puisque j'ai dû l'expliquer à nouveau, on peut voir qu'il est effectivement un peu plus complexe que prévu.
 

Alex85

05.09.2017 09:38:29
  • #6
Tu devais l'expliquer, car la zone B n'est pas manifestement attribuée aux terrains résidentiels. Cela devrait découler du plan de commercialisation ou de la parcelle.
Mais bon, chacun a derrière sa clôture un morceau de prairie à conserver. La commune en a probablement pris conscience plus tard, afin d'économiser les frais d'entretien dans la caisse communale.

Les déclarations concernant la clôture ne sont néanmoins pas différentes. Il n'existe pas de règles pour les remblaiements (seulement dans le domaine de la ligne électrique). Un mur de soutènement n'est, à mon avis, pas non plus une clôture.

Le fait que les clôtures ne soient pas autorisées dans B a probablement pour origine que l'on souhaite conserver B comme grande zone verte. Elles ne doivent pas être utilisées comme jardin privé. Il s'agit uniquement du fait que la commune n'ait aucun coût pour cette zone.
Les remblaiements dans B, qui sont ensuite retenus, ne servent évidemment pas cet objectif. La prairie ressemble alors à un certain mémorial à Berlin. Mais là, c'est simplement la commune qui a dormi et n'a pas établi de règles.
 
Oben