nordbayer
21.03.2020 06:59:50
- #1
Dans toutes ces simulations épidémiologiques de la propagation d’un virus, des particules se déplacent dans l’espace selon certains schémas aléatoires et/ou déterministes, et il y a toujours une probabilité de transmission des particules malades aux particules saines lors d’une collision des trajectoires. J’ai moi-même programmé quelque chose de ce genre dans le passé.
Ma catégorie de travaux d’auto-réalisation sur le chantier ne touche aucune particule et ne met en danger aucune d’entre elles. Ma trajectoire stationnaire sur le balcon est en revanche menacée par les trajectoires des gros fumeurs en chaîne assis en dessous sur le balcon, dont les nuages de fumée pourraient certainement bientôt contenir aussi du Covid. Ma trajectoire de courses est vraiment critique, car les trajectoires de trop nombreuses autres particules dans un espace restreint ne respectent pas la distanciation.
Et de la part des acharnés du papier toilette et des nouilles comme , je ne me laisse pas faire de leçons morales ici.
Ma catégorie de travaux d’auto-réalisation sur le chantier ne touche aucune particule et ne met en danger aucune d’entre elles. Ma trajectoire stationnaire sur le balcon est en revanche menacée par les trajectoires des gros fumeurs en chaîne assis en dessous sur le balcon, dont les nuages de fumée pourraient certainement bientôt contenir aussi du Covid. Ma trajectoire de courses est vraiment critique, car les trajectoires de trop nombreuses autres particules dans un espace restreint ne respectent pas la distanciation.
Et de la part des acharnés du papier toilette et des nouilles comme , je ne me laisse pas faire de leçons morales ici.