@ :
Il y a désormais de nombreuses indications pour la pose après les publications. Aussi avec des affirmations pertinentes.
Je les résume ici avec mes propres remarques :
1. Des lames PVC avec un adhésif à sec collé en usine au dos doivent être posées.
2. Dans le logement, le support de pose est une chape fluide (probablement à base de CAS) dans laquelle des éléments chauffants ont été intégrés (chauffage par le sol à eau chaude).
3. En raison des irrégularités, impossibles à éviter même avec des chapes fluides, ces structures indésirables se refléteront dans le revêtement supérieur sans une réparation préalable de la surface de la chape !
4. Si on ne ponce pas toute la surface au préalable (comme ponçage de propreté obligatoire), les lames PVC, si elles étaient posées directement sur la surface de la chape, se décolleraient probablement à plusieurs endroits, même si peut-être pas partout uniformément, mais au moins sur les bords. La réparation en cours d’utilisation du logement est plus que désagréable. D’autant plus que la méthode choisie, ne pas réparer, va à l’encontre des règles reconnues de l’art (exception : parquet massif) !
Conclusion :
Ce que envisage est une construction spéciale qui, avec une forte probabilité, ne fonctionnera pas.
La force d’adhérence de l’adhésif à sec est contrariée par un support mal préparé, or les lames PVC doivent pouvoir créer un lien adhésif suffisant avec la surface de pose sous l’effet thermique d’un chauffage par le sol. Et elles ne le feront certainement pas, du moins pas partout !
Là où les lames PVC sont bien fixes, les structures de la chape fluide (qui apparaissent au moins lors du dégazage juste après la pose, c’est-à-dire au moment du « battage ») se manifesteront inévitablement.
Si l’on met ainsi en balance le surcroît de travail (ponçage, aspiration, primaire + réparation) et le risque qui résulte d’un dommage prévisible avec les efforts à fournir pour une rénovation complète pendant la phase d’utilisation, sans même tenir compte d’une esthétique de surface insatisfaisante, alors la décision quant à la méthode à adopter devrait au moins se faire en faveur des procédés de ponçage et de réparation avec cette connaissance issue de cette situation ici.
------------------------
Salutations : KlaRa