Bulla2000
22.11.2010 17:36:13
- #1
Bonjour, nous sommes sur le point de conclure notre contrat de chantier selon le code de la construction pour la construction d'une maison individuelle avec la DEURA (voir à ce sujet le thème ici sur le forum). Selon leurs règles, la DEURA est responsable des dommages prouvés résultant de retards (par exemple frais d'intérêts, loyer, déménagement annulé, etc.).
Mon superviseur de chantier aurait souhaité inclure une clause de pénalités contractuelles selon laquelle l'entreprise paierait une somme déterminée indépendamment de la faute pour chaque semaine de dépassement du délai de construction. L'entreprise refuse une telle disposition et renvoie à son contrat (voir ci-dessus).
Notre problème est que nous ne louons pas et que nous n'aurons pas non plus de coûts supplémentaires de financement. Un calendrier des travaux sera convenu de manière contraignante. Le seul dommage que je vois pour l'instant, si nous ne pouvons pas emménager comme prévu, est celui des frais de transport pour le chemin scolaire de notre fille. Elle doit être scolarisée à proximité de la zone de construction afin d'éviter un changement de classe. Pour cela, nous devons la conduire chaque jour environ 25 km aller et 25 km retour. Ce serait donc le dommage, à partir du premier jour suivant la date de fin de construction convenue.
Ce dommage n'est pas très important, il est donc peu susceptible de constituer un véritable moyen de pression.
Que recommanderiez-vous ? D'une part, je crains peu qu'il y ait un retard dans les délais de construction, car d'une part 8 mois sont prévus et, d'autre part, selon les expériences passées, la DEURA ne prend pas de retard, d'autre part peut-être la réglementation existante suffit-elle.
Une solution de ce type comme ci-dessus (pénalité contractuelle) est-elle courante ou devrais-je ne pas insister sur cela ?
Mon superviseur de chantier aurait souhaité inclure une clause de pénalités contractuelles selon laquelle l'entreprise paierait une somme déterminée indépendamment de la faute pour chaque semaine de dépassement du délai de construction. L'entreprise refuse une telle disposition et renvoie à son contrat (voir ci-dessus).
Notre problème est que nous ne louons pas et que nous n'aurons pas non plus de coûts supplémentaires de financement. Un calendrier des travaux sera convenu de manière contraignante. Le seul dommage que je vois pour l'instant, si nous ne pouvons pas emménager comme prévu, est celui des frais de transport pour le chemin scolaire de notre fille. Elle doit être scolarisée à proximité de la zone de construction afin d'éviter un changement de classe. Pour cela, nous devons la conduire chaque jour environ 25 km aller et 25 km retour. Ce serait donc le dommage, à partir du premier jour suivant la date de fin de construction convenue.
Ce dommage n'est pas très important, il est donc peu susceptible de constituer un véritable moyen de pression.
Que recommanderiez-vous ? D'une part, je crains peu qu'il y ait un retard dans les délais de construction, car d'une part 8 mois sont prévus et, d'autre part, selon les expériences passées, la DEURA ne prend pas de retard, d'autre part peut-être la réglementation existante suffit-elle.
Une solution de ce type comme ci-dessus (pénalité contractuelle) est-elle courante ou devrais-je ne pas insister sur cela ?