Maskulinus
23.07.2015 21:01:02
- #1
Bonjour à tous.
Je m'intéresse à l'évaluation professionnelle du cas suivant :
Un emprunteur a un financement immobilier en cours auprès de la banque.
Durée restante = 3 ans. Il ne paie que les intérêts courus.
Le remboursement a lieu par le biais de 2 assurances-vie – également arrivant à échéance dans 3 ans.
Créance ouverte = 45 000 €
Capital d'assurance déjà accumulé, ou valeur de rachat actuelle en cas de résiliation de l’assurance-vie :
Assurance 1 = 55 000 €
Assurance 2 = 30 000 €
L’emprunteur doit consacrer 500 € par mois pour les deux assurances.
Le rendement des assurances diminue constamment en raison de la situation sur le marché des capitaux.
Maintenant, l’emprunteur souhaite résilier l’assurance 1 afin de réduire la charge mensuelle et de rembourser le prêt par anticipation.
En alternative, si un remboursement anticipé incluant une indemnité de remboursement anticipé n’est pas possible (fixation du taux jusqu’au 02/2018), il serait possible de déposer la somme sur un compte bloqué / compte à vue de la banque, afin que celle-ci y ait accès à l’échéance du prêt.
La banque a rejeté ces propositions et insiste sur le respect du contrat.
Ainsi, l’emprunteur devrait continuer à supporter une charge mensuelle de 500 € pour couvrir les deux assurances.
Question : L’emprunteur doit-il vraiment accepter que la banque ne libère aucune assurance alors que les deux assurances garantissent déjà le prêt à hauteur de 188 % ?
Et il y a aussi la valeur en contrepartie du bien immobilier.
Une couverture de 100 % ne devrait-elle pas suffire ?
Merci pour vos réponses.
Je m'intéresse à l'évaluation professionnelle du cas suivant :
Un emprunteur a un financement immobilier en cours auprès de la banque.
Durée restante = 3 ans. Il ne paie que les intérêts courus.
Le remboursement a lieu par le biais de 2 assurances-vie – également arrivant à échéance dans 3 ans.
Créance ouverte = 45 000 €
Capital d'assurance déjà accumulé, ou valeur de rachat actuelle en cas de résiliation de l’assurance-vie :
Assurance 1 = 55 000 €
Assurance 2 = 30 000 €
L’emprunteur doit consacrer 500 € par mois pour les deux assurances.
Le rendement des assurances diminue constamment en raison de la situation sur le marché des capitaux.
Maintenant, l’emprunteur souhaite résilier l’assurance 1 afin de réduire la charge mensuelle et de rembourser le prêt par anticipation.
En alternative, si un remboursement anticipé incluant une indemnité de remboursement anticipé n’est pas possible (fixation du taux jusqu’au 02/2018), il serait possible de déposer la somme sur un compte bloqué / compte à vue de la banque, afin que celle-ci y ait accès à l’échéance du prêt.
La banque a rejeté ces propositions et insiste sur le respect du contrat.
Ainsi, l’emprunteur devrait continuer à supporter une charge mensuelle de 500 € pour couvrir les deux assurances.
Question : L’emprunteur doit-il vraiment accepter que la banque ne libère aucune assurance alors que les deux assurances garantissent déjà le prêt à hauteur de 188 % ?
Et il y a aussi la valeur en contrepartie du bien immobilier.
Une couverture de 100 % ne devrait-elle pas suffire ?
Merci pour vos réponses.