Dimensions de la structure de la fenêtre ; décisions entre la planification et la construction

  • Erstellt am 23.04.2022 20:47:27

11ant

24.04.2022 11:33:10
  • #1
Tu devrais interroger l'architecte sur les raisons qui justifient les dimensions qu'il a choisies (cela n'aurait pas d'importance, ce serait la mauvaise réponse et personnellement, cela me suffirait pour mettre fin au contrat avec lui - toute autre réponse m'intéresserait beaucoup). Car à quoi cela sert-il s'il ne comprend rien à la maçonnerie, et par exemple, inscrit 176 cm juste là pour satisfaire ta prétendue demande spéciale.

Concernant le matériau et la couleur de ton toit, je ne vois aucune raison de craindre que l'administration du bâtiment refuse l'une des variantes. Je considère que les fenêtres à double battant sont toujours compatibles avec la toiture, et je ne vois rien à redire à des sous-faces de toit partiellement ouvertes ni à la nécessité d'une fixation préalable.
 

karl.jonas

04.05.2022 22:59:36
  • #2
Aujourd'hui, nous sommes allés avec le plan d'architecte chez le (zukünftigen) Baubegleiter, il n'a vu aucun problème dans les dimensions proposées. On ne construisait plus depuis longtemps selon les dimensions des pierres, la découpe des pierres n'était pas problématique et ne prenait presque pas de temps. En tout cas pas assez pour que l'on doive s'en soucier.
 

11ant

05.05.2022 00:10:08
  • #3

Cela ne signifie pas forcément qu'il serait un mauvais maître d'œuvre. Mais cela me rendrait très méfiant.

Eh bien, qu'est-ce qui est venu en premier - la poule ou l'œuf ?
Il existe en effet une génération de planificateurs en construction qui se moquent complètement des connaissances de base, et qui ignorent avec un orgueil sans limites la grille octamétrique correspondante.

C'est aussi vrai que c'est absurde. Le maçon veut atteindre une performance à la pièce. Il ne peut pas se laisser arrêter par l'ignorance des "étudiants". Que peut-il faire ? - écrire un avis d'entrave, instruire le planificateur, passer pour un fauteur de troubles auprès de son chef et aller chercher ses affaires ? - non !
Bien sûr, il comprendra de manière pragmatique que le plus intelligent cède, et une scie à pierre est quelque chose qui n'a pas besoin d'être béni ou manipulé uniquement par un druide. Bien sûr, il scie donc la pierre en cas de besoin.
Mais : la dimension fantaisiste du planificateur ignorant ne se révèle pas toujours favorable, et alors on bricole ("bâcle" je ne voudrais pas dire, car en fait le faussaire derrière les faussaires n’est pas le maçon, mais le planificateur). Où est donc le problème ? - je veux bien l'expliquer encore une fois :
Il réside dans la corrélation entre le rythme des joints et la dimension de recouvrement. Ce problème est relatif en tant que le paramètre "rythme des joints" peut avoir différentes grandeurs. La dimension de recouvrement est en rapport et doit être "au moins 40 %" selon les règles de l'art. Cela signifie que le joint (normalement sec pour les pierres pleines) doit idéalement se placer au centre, en dessous/au-dessus de la pierre de la rangée adjacente, en pourcentage donc 50/50, tolérant de 40/60 à 60/40. La tolérance est donc de 10 % du rythme, et ici interviennent les différentes grandeurs : pour le béton cellulaire (ou avec un système d'isolation thermique par l'extérieur) on parle ici d’un rythme de 50 cm, donc d’une plage de tolérance de 5 cm ; pour la brique perforée, le tuf léger, la pouzzolane ou autres (monolithiques) d’un rythme de 25 cm, donc d’une plage de tolérance de seulement 2,5 cm. Prenons dans l’exemple deux morceaux de mur d’une longueur idéale de 200 cm, et l’ignorant planificateur en fait une fois 193 et une fois 207 cm : dans un cas ce sont « huit rythmes moins 7 cm », maçonné normalement à la pression et avec une dernière pierre sciée de 7 cm, okay, correctement perçu pas la fin du monde ; dans l’autre cas « huit rythmes plus 7 cm ». Pour les sept joints également, on peut répartir cela « équitablement », alors ce n’est plus serré mais encore à sec avec les yeux fermés. Le maçon ne le fera toutefois que s’il est un virtuose précis, avec beaucoup d’expérience et de temps pour une main sûre. En réalité, il sera plus fréquent de compenser cela avec le seul dernier joint (mais attention ! - pour celui-là tout seul ce serait trop). Donc il y aura ici cinq joints normaux, serrés et secs - suivis de deux joints qui partagent l’écart de 7 centimètres et seront badigeonnés (et - là je ne me fais pas d’illusions en tant que protestant : personne ne regarde, hop avec le mortier pour les joints de pose). Même un romantique comme moi ne supposerait sérieusement que notre bon maçon aurait mis un reste de pierre d’avant jusqu’ici sous le bras...
 

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