Osttexas
10.03.2021 19:20:44
- #1
Bonjour à tous,
je suis un complet novice en matière de maison individuelle et je me suis jusqu’à présent uniquement plongé dans le « [Stern-Ratgeber: In 10 Schritten zum Eigenheim] » (il était disponible à la bibliothèque sous forme d’e-book pratique – c’est un bon moyen d’y accéder pendant les périodes de confinement). Et il faut bien que je commence quelque part pour poser des questions...
Je crois avoir compris entre-temps que la première étape impliquant des personnes « externes » à la construction ou l’achat d’une maison est d’aller voir le financeur ou la banque.
Par ailleurs, je pense avoir compris qu’il est préférable d’obtenir une promesse de financement préalable qui ne concerne pas encore un bien concret, mais qui est d’abord un engagement selon lequel, au moment de l’émission, la banque accorderait un prêt jusqu’à un certain montant. Cela permettrait alors de convaincre rapidement le vendeur que l’on est effectivement capable de mener à bien l’achat.
Normalement, on part sur 20 ou 25 % de fonds propres. Mais j’imagine que nous pourrions commencer avec nettement plus de fonds propres (des chiffres concrets peut-être plus tard, si je ne me ridiculise pas totalement ici). Voici donc ma question : pour quel montant fait-on établir cette promesse ? Ou bien la banque attribue-t-elle de toute façon un montant maximal en fonction de revenus nets mensuels, que l’on ne mobiliserait ensuite pas en totalité ? (Je suppose qu’on ne connaît les conditions exactes qu’au moment de la promesse concrète ?)
Je peux imaginer que les banques pourraient bien avoir leurs propres intérêts : si elles interviennent elles-mêmes dans la vente immobilière, elles pourraient tenter de pousser à l’achat d’un bien surévalué et éventuellement plus grand que nécessaire, afin de toucher une commission supplémentaire. Et un prêt important signifie aussi pour elles qu’elles paieront moins d’intérêts négatifs sur leurs dépôts, générant ainsi des revenus d’intérêts réguliers. Si c’est le cas, cela n’est pas automatiquement illégitime, mais cela pourrait mener à un entretien de conseil dont l’issue serait différente de celle que j’aimerais.
On pourrait par ailleurs dire directement au banquier qu’un prêt aussi élevé n’est pas nécessaire. Le cas échéant, je ne sais pas, je recevrais alors un document avec un engagement pour un montant beaucoup plus faible. Mais dans ce cas, il faudrait encore convaincre un vendeur potentiel que cet engagement ne signifie pas que je ne suis pas en mesure d’acheter, mais que le reste de l’argent proviendra de fonds propres qui ne figureront probablement pas dans l’engagement.
Donc : existe-t-il une bonne pratique pour cette question ? Ou une procédure presque obligatoire ? Ou bien le banquier me conseillerait-il de toute façon de manière neutre si je lui pose directement la question ?
Merci d’avance !
je suis un complet novice en matière de maison individuelle et je me suis jusqu’à présent uniquement plongé dans le « [Stern-Ratgeber: In 10 Schritten zum Eigenheim] » (il était disponible à la bibliothèque sous forme d’e-book pratique – c’est un bon moyen d’y accéder pendant les périodes de confinement). Et il faut bien que je commence quelque part pour poser des questions...
Je crois avoir compris entre-temps que la première étape impliquant des personnes « externes » à la construction ou l’achat d’une maison est d’aller voir le financeur ou la banque.
Par ailleurs, je pense avoir compris qu’il est préférable d’obtenir une promesse de financement préalable qui ne concerne pas encore un bien concret, mais qui est d’abord un engagement selon lequel, au moment de l’émission, la banque accorderait un prêt jusqu’à un certain montant. Cela permettrait alors de convaincre rapidement le vendeur que l’on est effectivement capable de mener à bien l’achat.
Normalement, on part sur 20 ou 25 % de fonds propres. Mais j’imagine que nous pourrions commencer avec nettement plus de fonds propres (des chiffres concrets peut-être plus tard, si je ne me ridiculise pas totalement ici). Voici donc ma question : pour quel montant fait-on établir cette promesse ? Ou bien la banque attribue-t-elle de toute façon un montant maximal en fonction de revenus nets mensuels, que l’on ne mobiliserait ensuite pas en totalité ? (Je suppose qu’on ne connaît les conditions exactes qu’au moment de la promesse concrète ?)
Je peux imaginer que les banques pourraient bien avoir leurs propres intérêts : si elles interviennent elles-mêmes dans la vente immobilière, elles pourraient tenter de pousser à l’achat d’un bien surévalué et éventuellement plus grand que nécessaire, afin de toucher une commission supplémentaire. Et un prêt important signifie aussi pour elles qu’elles paieront moins d’intérêts négatifs sur leurs dépôts, générant ainsi des revenus d’intérêts réguliers. Si c’est le cas, cela n’est pas automatiquement illégitime, mais cela pourrait mener à un entretien de conseil dont l’issue serait différente de celle que j’aimerais.
On pourrait par ailleurs dire directement au banquier qu’un prêt aussi élevé n’est pas nécessaire. Le cas échéant, je ne sais pas, je recevrais alors un document avec un engagement pour un montant beaucoup plus faible. Mais dans ce cas, il faudrait encore convaincre un vendeur potentiel que cet engagement ne signifie pas que je ne suis pas en mesure d’acheter, mais que le reste de l’argent proviendra de fonds propres qui ne figureront probablement pas dans l’engagement.
Donc : existe-t-il une bonne pratique pour cette question ? Ou une procédure presque obligatoire ? Ou bien le banquier me conseillerait-il de toute façon de manière neutre si je lui pose directement la question ?
Merci d’avance !