Les joints du parquet ont-ils été posés de manière désordonnée ? Défaut ou tolérance ?

D’autre part, cela est à nouveau en parfaite proportion avec le fait de faire travailler des produits de marque par un non-spécialiste. À mon avis, la marchandise en a visiblement souffert, les bords ont l’air usés comme « stonewashed ». Un ponçage, qui devrait en fait travailler en profondeur les rayures, frôle déjà le « fraisage en surface » et le résultat déclenche dans mon imagination un film d’horreur, quand j’imagine que ce sont à nouveau les mêmes mains folles qui s’en chargent. Jusqu’où il faudrait accepter une rectification « en première instance », je ne peux pas le juger du point de vue du droit de la consommation, mais je n’attends aucun résultat satisfaisant.

Je souhaiterais qu’il y ait un jour un arrêt de principe contre le traitement de produits haut de gamme par des personnes non qualifiées ou peu formées, car cela devient une véritable épidémie : nous voyons ici relativement régulièrement des cas de briques de marque maçonnées par des poseurs de pierres formés sommairement et jointoyées par des « Estrich-Achmeds » (merci à pour ce beau terme) ; actuellement, il s’agit cette semaine dans un autre fil de discussion de fenêtres d’un fabricant de marque, qui ont été assemblées et « posées » de manière inappropriée – ce qui semble également être à la mode.

Abuser ainsi un produit de marque dans sa description de prestation pour faire croire à un niveau de qualité et ensuite le gâcher lors de la pose (nous nous rappelons du cours de maths : un produit est mauvais, même si un seul de ses facteurs est mauvais) doit enfin être débarrassé de l’aura d’un délit de cavalier !

Seulement... si un chauffage au sol est installé, le parquet est probablement collé avec de la colle flexible. Et tu ne pourras presque pas l'enlever.

Pourquoi ça part-il si difficilement ? C’est quand même de la gomme à mâcher, cette colle à parquet.