€uro
18.07.2012 17:51:18
- #1
Bonjour expert en construction,
Je ne défends pas les maîtres d’ouvrage, mais j’essaie de leur indiquer, par exemple à partir de projets désastreux de maîtres d’œuvre ou d’entrepreneurs généraux, les nécessités. Tu critiques d’une part les bon marché et d’autre part tu voues aux nues la profession honorable des vendeurs — comment cela s’accorde-t-il ? Que doit croire ici un maître d’ouvrage naïf en devenir ?
cordialement,
N’est-ce pas naïf ou candide ?... Vous trouvez chez ce vendeur justement ce couvercle qui correspond à votre casserole, ...
Exactement, c’est pourquoi une sensibilisation à la valeur réelle est nécessaire.... Billigheim & Co. jouissent de carnets de commandes pleins et ainsi la pérennité de ce forum est également assurée.
Il semble donc que cela fonctionne quand même.... Je connais toutefois aussi deux fournisseurs opérant à l’échelle nationale, qui se sont adaptés aux exigences changeantes et ce, avec succès. Ils emploient des conseillers en énergie bien formés et élaborent des plans solides de bâtiments, qui ne sont pas dépassés par la réalité ; cependant ils ne sont pas non plus des concédants de licence, mais répondent de leur bonne réputation.
De grandes entreprises avec des centaines de salariés dans la direction l’ont cru aussi, aujourd’hui elles sont en faillite ;-) La flexibilité et l’adaptation aux nouvelles conditions cadres sont naturellement difficiles pour le régionaliste. Cependant les temps et les exigences changent, si Heiz et Fritz peuvent suivre, cela échappe à son savoir. Ainsi, la fin est programmée.... Donc sa continuité est assurée.
Ici, je ne suis pas d’accord. Internet est un pouvoir croissant et non négligeable. Certains, en tenant compte de la hausse progressive des prix de l’énergie, réfléchiront probablement quand même, même avec un budget constant, à sacrifier quelques m³ de volume construit au profit d’une technique d’installation efficace en vue de coûts de consommation plus faibles.... La majorité des maîtres d’ouvrage continuera à signer chez les « bon marché », car la relation technique ne leur coûte que de l’argent comptant, qu’ils préfèrent investir dans une meilleure installation sanitaire ou une nouvelle cuisine.
De l’argent d’apprentissage qu’ils paient, dont malheureusement le conseiller initial solide ne bénéficie pas ;-).... La plupart d’entre eux ne sont pas honnêtes, quelques-uns le sont. Ils m’expliquent alors : "que nos prévisions étaient presque exactes à 100 % et qu’ils avancent maintenant vers le prix final que nous avions annoncé lors de l’entretien initial ; toutefois avec beaucoup de retards et d’ennuis. Aurait pu ... aurait dû ..."
Je considère cela comme allant de soi... Tu expliques aussi qu’il n’y a pas de Bentley au prix d’une Lupo.
.. Les maîtres d’ouvrage régulièrement défendus par toi ne se rapprochent pas de la vérité, mais portent en même temps atteinte à une profession généralement très bien travaillante.
Je ne défends pas les maîtres d’ouvrage, mais j’essaie de leur indiquer, par exemple à partir de projets désastreux de maîtres d’œuvre ou d’entrepreneurs généraux, les nécessités. Tu critiques d’une part les bon marché et d’autre part tu voues aux nues la profession honorable des vendeurs — comment cela s’accorde-t-il ? Que doit croire ici un maître d’ouvrage naïf en devenir ?
cordialement,