ALF_BE
25.02.2012 13:41:48
- #1
Bonjour,
nous allons reprendre en Suisse un immeuble ancien construit en 1900, qui est encore dans son état original. Cela signifie :
- chauffage au poêle
- fenêtres à double caisse
- façade non isolée
- pas de raccordement au gaz
J’ai maintenant les conditions suivantes :
- pour des raisons fiscales, il est judicieux d’étaler les investissements sur plusieurs années
- un nouveau raccordement au gaz coûte >> 20 000 €
- le courant de nuit coûte environ 15 centimes/kWh, le courant de jour 30 centimes, le gaz environ 17 centimes et le fioul un peu moins
Les fenêtres doivent absolument être rénovées – on ne peut pas y échapper.
La question qui se pose maintenant est la suivante : purement économiquement, les seuls coûts d’exploitation (hors investissement) d’une chaudière à gaz sont déjà plus élevés que ceux d’une résistance électrique (même un rendement de 106 % ne change plus grand-chose).
Je redoute un peu les coûts de base pour un raccordement au gaz ou un réservoir de fioul. C’est pourquoi une pompe à chaleur air-eau avec un accumulateur de 2 mètres cubes serait une idée. D’un autre côté, dans l’ancien bâtiment, je n’arriverai pas à obtenir des températures de départ très basses, car l’isolation doit encore attendre et je ne peux pas non plus installer des radiateurs à surface partout.
Qu’en pensez-vous ? Ou bien les pompes à chaleur ont-elles beaucoup progressé (« pompe à chaleur air-eau haute température ») ?
J’ai aussi un peu de surface de jardin. Donc une pompe à chaleur géothermique serait également possible.
Mais que faire à -20°C rigoureux ?
Cordialement
ALF_BE
nous allons reprendre en Suisse un immeuble ancien construit en 1900, qui est encore dans son état original. Cela signifie :
- chauffage au poêle
- fenêtres à double caisse
- façade non isolée
- pas de raccordement au gaz
J’ai maintenant les conditions suivantes :
- pour des raisons fiscales, il est judicieux d’étaler les investissements sur plusieurs années
- un nouveau raccordement au gaz coûte >> 20 000 €
- le courant de nuit coûte environ 15 centimes/kWh, le courant de jour 30 centimes, le gaz environ 17 centimes et le fioul un peu moins
Les fenêtres doivent absolument être rénovées – on ne peut pas y échapper.
La question qui se pose maintenant est la suivante : purement économiquement, les seuls coûts d’exploitation (hors investissement) d’une chaudière à gaz sont déjà plus élevés que ceux d’une résistance électrique (même un rendement de 106 % ne change plus grand-chose).
Je redoute un peu les coûts de base pour un raccordement au gaz ou un réservoir de fioul. C’est pourquoi une pompe à chaleur air-eau avec un accumulateur de 2 mètres cubes serait une idée. D’un autre côté, dans l’ancien bâtiment, je n’arriverai pas à obtenir des températures de départ très basses, car l’isolation doit encore attendre et je ne peux pas non plus installer des radiateurs à surface partout.
Qu’en pensez-vous ? Ou bien les pompes à chaleur ont-elles beaucoup progressé (« pompe à chaleur air-eau haute température ») ?
J’ai aussi un peu de surface de jardin. Donc une pompe à chaleur géothermique serait également possible.
Mais que faire à -20°C rigoureux ?
Cordialement
ALF_BE