11ant
03.06.2020 21:09:07
- #1
Tu parles en énigmes, mon ami.
L'article 34 GewO restreint le droit général à la libre choix de la profession dans la mesure où il exige, par exemple pour les exploitants d'hôpitaux ou divers prestataires de services financiers (notamment les courtiers et les promoteurs immobiliers), des choses telles que des compétences professionnelles, une fiabilité personnelle et autres. Un courtier devrait éviter les condamnations pénales pertinentes (pour détournement, falsification de documents, fraude, etc.) – pour cela, il n'a pas besoin d'un permis de transport de personnes et peut échouer indéfiniment à l'examen dit de "hachis". Si on a ruiné sa réputation dans une profession soumise à concession, on ne peut donc mener sa vie sans gêne que si l'on a un prête-nom.
Et comment obtient-il autrement ces références ? Bien sûr, nous pouvons passer par des zones de nouvelles constructions actuelles, mais une maison qui n’est pas encore terminée n’est tout simplement pas encore terminée.
D’autant plus, il y a encore des artisans qui circulent et qu'on peut questionner sur la fréquence de leurs interventions pour ce fournisseur. Sont-ils tous "récents", leurs prédécesseurs éventuellement payés tardivement...