Faire estimer la maison / le terrain en cas de succession ou de don

  • Erstellt am 01.06.2019 15:39:42

11ant

01.06.2019 20:12:48
  • #1
Une propriété n'a jamais qu'une valeur, car la valeur est examinée sous des perspectives très différentes. Il y a la valeur marchande, la valeur vénale, la valeur cadastrale, et ainsi de suite ; le droit successoral, le droit fiscal, les cohéritiers & Co considèrent cela sur des bases très diverses. Et enfin, les frais de notaire sont également calculés en fonction de la valeur. Je conseillerais de consulter un conseiller fiscal – et pas n'importe lequel, mais un qui soit aussi compétent en matière de planification (par exemple, pour grever une maison du droit d'habitation du futur testateur de son vivant, ce qui fait baisser le prix). Il peut être utile qu'un conseiller sache lire une loi aussi entre les lignes.
 

Anoxio

01.06.2019 20:23:26
  • #2
Merveilleux, merci - j'ai déjà enregistré la page. Cela apporte de la clarté dans le désordre

- oui, le conseiller fiscal sera la prochaine étape. Peut-on en fait aussi - si nécessaire - faire inscrire un droit d'habitation pour une personne qui n'habite pas là, afin de baisser le prix ? Plutôt pas, non ? Nous ne voulons pas trop "magier" là-dessus, mais si c'était la petite touche qu'il faudrait encore, ce serait éventuellement une bonne réflexion. Merci pour l'impulsion de pensée !

Les documents concernant l'héritage d'une autre maison nous ont un peu fait peur. Une valeur extrêmement élevée y a été attribuée, un loyer réalisable apparemment seulement basé sur les mètres carrés purs, ce qui aurait été absolument utopique pour l'état de cette maison à l'époque. Selon les documents, il y a également eu un long litige ; malheureusement, on ne trouve plus comment cela s'est finalement terminé. Mais cela fait déjà environ 30 ans.
 

Isokrates

01.06.2019 20:36:28
  • #3
Tu peux en principe inscrire un usufruit d'habitation pour n'importe qui, que la personne y habite ou non n'a pas d'importance. Mais il ne faut pas non plus prendre cela à la légère, une fois inscrit, cela reste d'abord dans le registre foncier.

Juste une remarque :
En principe, on doit aussi garder à l'esprit l'article 42 AO dans ce genre de cas (abus de droit fiscal), bien que celui-ci soit presque jamais poursuivi par les autorités fiscales, car extrêmement difficile à prouver (expérience personnelle).

Je donne cependant raison à 11ant, qu'un conseiller fiscal peut être très rentable ici, surtout lorsqu'il s'agit d'une valeur foncière élevée.
En particulier, si la valeur est supérieure à l'abattement (cf. art. 16 loi sur les droits de succession) dont on dispose tous les 10 ans selon la loi sur les droits de succession.
 

11ant

01.06.2019 20:38:18
  • #4

J'ai sûrement déjà mentionné que je ne suis pas juriste. Mais supposons que le neveu de la meilleure amie de la future testatrice soit actuellement en expédition indéterminée dans l'Himalaya. Donc une personne non apparentée, non concubin, non héritier, et actuellement non titulaire d'un droit d'habitation. À mon avis, ce ne sont pas des obstacles à lui accorder un droit d'habitation. Plus il est jeune, plus son droit d'habitation réduit le prix d'achat. en a justement parlé récemment, je n'ai pas besoin de le répéter.
 

Tassimat

01.06.2019 20:49:22
  • #5
C'est bête seulement si [dann auf die Idee kommt dort wohnen zu wollen].
 

11ant

01.06.2019 21:18:33
  • #6
Non, bien : il est difficile de mieux réfuter la présomption d'[Gestaltungsmißbrauch].
 

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