bolitho
22.11.2020 14:28:30
- #1
Bonjour à tous ceux qui s’y connaissent,
jusqu’à présent, je pensais en fait que le financement de relais était le financement le plus simple, mais je suis en train d’être sérieusement détrompé. Peut-être que quelqu’un ici aurait un ou deux conseils. En particulier sur l’évaluation des biens immobiliers.
Nous possédons une ancienne petite maison multifamiliale proche du centre-ville de Cologne (juste derrière la ceinture verte dans le 50823), qui a été rénovée et transformée en maison unifamiliale comme à l’origine. La rénovation a eu lieu de 2011 à 2014. Le bâtiment est un monument historique (date de construction originale 1890), mais pratiquement seules les façades extérieures ont été conservées, une partie est même une construction entièrement neuve car la structure ne pouvait pas être préservée. Le tout en accord avec les autorités. Les seuls coûts de construction de la rénovation s’élevaient à plus de 700 000 euros, sans le prix d’achat. Terrain avec jardin d’environ 300m². Un joyau à cet emplacement, une rareté de plus, qui peut prétendre avoir un jardin en centre-ville. Rénové de manière écologique, avec des enduits à la chaux, système de bus de haute qualité pour l’électricité, nouvelles longues lames de chêne dans toutes les pièces, chauffage au sol dans toute la maison, vitrage isolant thermique et acoustique, ventilation centralisée, … ! La maison a également été rénovée pour devenir une maison à haute efficacité énergétique (pas dans le cadre des monuments) et a une valeur inférieure à 70kWh/(m²*a). Surface habitable selon WoFIV de 235m² (donc sans le sous-sol, …) ou DIN277 de 295m². Tout peut être prouvé, tous les documents sont disponibles pour les banques, y compris une documentation complète de la rénovation. Au niveau assurance, le bâtiment est même classé comme construction neuve et les tarifs d’assurance bâtiment en découlent en conséquence.
Nous souhaitons financer en relais un montant légèrement inférieur à 400 000 euros. Ce montant est réparti en quatre prêts qui doivent être regroupés en trois. Il faut préciser qu’en raison des coûts de rénovation plus élevés et d’un rachat/restructuration, l’un des prêts doit être conclu comme un prêt à terme (à partir de 2024). L’offre de notre banque actuelle se situe entre 1,1 et 1,3 %, mais elle ne souhaite pas regrouper les prêts et inclut aussi le risque de résiliation anticipée du prêt à terme dans ses conditions. Ce qui est possible si je reste à la même banque car la période de fixation du taux débute dès la signature du nouveau contrat de prêt. C’est pourquoi nous voulions changer de banque et avons demandé des offres.
Nous avons maintenant des offres avec un taux moyen de 0,8 à 0,9 % à un remboursement de 4 % et des durées différentes des prêts entre 12 et 15 ans sur la table. De sorte que la fin des taux soit proche les unes des autres. Remboursements comme précédemment. Quand cela arrive à la phase finale, nous avons en fait un problème avec les banques car elles nous répondent que la valeur indiquée du bâtiment ne correspond pas à la valeur du marché.
Motif : le bâtiment date de 1890 et il s’agit d’une maison mitoyenne (où en centre-ville trouve-t-on des maisons unifamiliales isolées ??). Selon leurs systèmes, le financement demandé représenterait un taux d’endettement de 100 %. Ils attribuent donc au bâtiment en quelque sorte « seulement » une valeur d’environ 400 000 euros. Nous aurions donc à l’origine financé bien au-delà de 100 %. Comment convaincre les banques d’appliquer une valeur réaliste ici ? Rien que la valeur foncière selon le comité d’expertise est d’un peu plus de 1000 €/m², cela ne colle absolument pas. Les prix d’achat au mètre carré sont ici entre 4000 et 6500 €/m². Même avec l’hypothèse la plus pessimiste, l’évaluation des banques ne correspond pas. Qu’est-ce que je néglige exactement ? Ou est-ce une méthode pour augmenter les taux d’intérêt avec un risque relativement faible ? Pourtant, la banque pour laquelle nous avions justement opté a même d’abord consenti une réduction du taux pour la bonne valeur d’efficacité.
Je dois en discuter avec eux au début de la semaine. Je suis maintenant aussi sous pression car je dois résilier activement un des prêts en janvier pour pouvoir les regrouper. Je serais reconnaissant pour des conseils et des arguments.
Que les banques exigent cette fois aussi des preuves de retraite (nous avons environ 40 ans par ailleurs) et des documents cadastraux d’un appartement en propriété libre de dettes est aussi un peu étrange …
Merci pour vos conseils.
Cordialement
bolitho
jusqu’à présent, je pensais en fait que le financement de relais était le financement le plus simple, mais je suis en train d’être sérieusement détrompé. Peut-être que quelqu’un ici aurait un ou deux conseils. En particulier sur l’évaluation des biens immobiliers.
Nous possédons une ancienne petite maison multifamiliale proche du centre-ville de Cologne (juste derrière la ceinture verte dans le 50823), qui a été rénovée et transformée en maison unifamiliale comme à l’origine. La rénovation a eu lieu de 2011 à 2014. Le bâtiment est un monument historique (date de construction originale 1890), mais pratiquement seules les façades extérieures ont été conservées, une partie est même une construction entièrement neuve car la structure ne pouvait pas être préservée. Le tout en accord avec les autorités. Les seuls coûts de construction de la rénovation s’élevaient à plus de 700 000 euros, sans le prix d’achat. Terrain avec jardin d’environ 300m². Un joyau à cet emplacement, une rareté de plus, qui peut prétendre avoir un jardin en centre-ville. Rénové de manière écologique, avec des enduits à la chaux, système de bus de haute qualité pour l’électricité, nouvelles longues lames de chêne dans toutes les pièces, chauffage au sol dans toute la maison, vitrage isolant thermique et acoustique, ventilation centralisée, … ! La maison a également été rénovée pour devenir une maison à haute efficacité énergétique (pas dans le cadre des monuments) et a une valeur inférieure à 70kWh/(m²*a). Surface habitable selon WoFIV de 235m² (donc sans le sous-sol, …) ou DIN277 de 295m². Tout peut être prouvé, tous les documents sont disponibles pour les banques, y compris une documentation complète de la rénovation. Au niveau assurance, le bâtiment est même classé comme construction neuve et les tarifs d’assurance bâtiment en découlent en conséquence.
Nous souhaitons financer en relais un montant légèrement inférieur à 400 000 euros. Ce montant est réparti en quatre prêts qui doivent être regroupés en trois. Il faut préciser qu’en raison des coûts de rénovation plus élevés et d’un rachat/restructuration, l’un des prêts doit être conclu comme un prêt à terme (à partir de 2024). L’offre de notre banque actuelle se situe entre 1,1 et 1,3 %, mais elle ne souhaite pas regrouper les prêts et inclut aussi le risque de résiliation anticipée du prêt à terme dans ses conditions. Ce qui est possible si je reste à la même banque car la période de fixation du taux débute dès la signature du nouveau contrat de prêt. C’est pourquoi nous voulions changer de banque et avons demandé des offres.
Nous avons maintenant des offres avec un taux moyen de 0,8 à 0,9 % à un remboursement de 4 % et des durées différentes des prêts entre 12 et 15 ans sur la table. De sorte que la fin des taux soit proche les unes des autres. Remboursements comme précédemment. Quand cela arrive à la phase finale, nous avons en fait un problème avec les banques car elles nous répondent que la valeur indiquée du bâtiment ne correspond pas à la valeur du marché.
Motif : le bâtiment date de 1890 et il s’agit d’une maison mitoyenne (où en centre-ville trouve-t-on des maisons unifamiliales isolées ??). Selon leurs systèmes, le financement demandé représenterait un taux d’endettement de 100 %. Ils attribuent donc au bâtiment en quelque sorte « seulement » une valeur d’environ 400 000 euros. Nous aurions donc à l’origine financé bien au-delà de 100 %. Comment convaincre les banques d’appliquer une valeur réaliste ici ? Rien que la valeur foncière selon le comité d’expertise est d’un peu plus de 1000 €/m², cela ne colle absolument pas. Les prix d’achat au mètre carré sont ici entre 4000 et 6500 €/m². Même avec l’hypothèse la plus pessimiste, l’évaluation des banques ne correspond pas. Qu’est-ce que je néglige exactement ? Ou est-ce une méthode pour augmenter les taux d’intérêt avec un risque relativement faible ? Pourtant, la banque pour laquelle nous avions justement opté a même d’abord consenti une réduction du taux pour la bonne valeur d’efficacité.
Je dois en discuter avec eux au début de la semaine. Je suis maintenant aussi sous pression car je dois résilier activement un des prêts en janvier pour pouvoir les regrouper. Je serais reconnaissant pour des conseils et des arguments.
Que les banques exigent cette fois aussi des preuves de retraite (nous avons environ 40 ans par ailleurs) et des documents cadastraux d’un appartement en propriété libre de dettes est aussi un peu étrange …
Merci pour vos conseils.
Cordialement
bolitho