MadameP
16.06.2019 23:07:43
- #1
?hein? Pour accéder à la buanderie, ce n’est pas juste un pas. Il faut d’abord passer par la salle de bain. Et si tu dois faire 20 fois le trajet de la salle de bain à la buanderie, pour moi c’est plutôt une erreur de conception, car tu as quelque chose dans la buanderie qui devrait en fait être dans la salle de bain.
Pourquoi serait-ce une erreur de conception de vouloir stocker des choses qui « appartiennent » à la salle de bain dans une pièce séparée ? Peut-être que l’appellation buanderie est ici un peu trompeuse. Par exemple, je trouve agréable de pouvoir se passer d’un placard / d’une étagère pour les serviettes dans la salle de bain. Je n’aime pas les salles de bain surchargées de meubles et d’objets. Notre sèche-linge est un sèche-linge à condensation, après chaque utilisation je dois vider le bac à eau. Il faudrait alors que j’aille toujours dans le couloir, dans la salle de bain, vider, puis traverser à nouveau le couloir vers la « buanderie », que je trouve trop petite pour un évier. Le soir je me déshabille dans la salle de bain, un pas, le linge va dans le panier à linge. Fini.
Donc je vois tout à fait que ces deux portes me limitent beaucoup dans la salle de bain et je ne veux pas non plus défendre cela de façon catégorique. Juste expliquer nos raisons pour lesquelles ce fut conçu ainsi.
Ta proposition T me plaît assez…
Je préférerais un grand lavabo où l’on peut être deux que deux lavabos individuels.
Tu vois, nous préférons exactement l’inverse
La cloison d’intimité est en principe OK — est-ce que c’est la seule toilette dans la maison ?
Non, il y en a encore deux autres. Je n’aime juste pas trop que le « petit coin » soit si visible en plein milieu ou immédiatement à portée de vue. (J’ai une fille de trois ans qui me suit partout à cet âge. Elle ne s’arrête même pas devant le petit coin. Je sais que ça ne durera pas toujours. Mais c’est un point délicat en ce moment et je souhaite à jamais un peu plus d’intimité et de protection quand on va faire caca, comme quelqu’un l’a si gentiment écrit.)