mais ne sommes-nous pas encore en train de parler d’éléments préfabriqués en béton ? Ce sujet, on l’a déjà eu dans un autre fil, non ?!
Selon ant1, en raison de la préfabrication avec une taille de lot de 1, ce n’est pas réalisable à des prix réalistes ?!
Tu vois, maintenant, avec une maison concrète en tête, on regarde cela plus précisément, cas par cas : pour cette maison - d’ailleurs selon moi un projet qui dans l’ensemble ne « souffre » pas du crépi, mais qui a aussi bonne allure avec une façade crépie qu’en béton apparent - c’est cohérent dans l’ensemble, et pour le 7er et l’Elfer Turbo on peut même dire que c’est « adéquat ».
On peut faire cela avec des éléments préfabriqués, en béton coulé sur place, ou combiné.
Plus précisément : en usine, on fabrique (sur mesure, car dans cette maison aucun module mural ne se répète selon un certain module, donc chaque élément est différent) un mur mince en béton pour l’« intérieur » et un élément correspondant pour l’« extérieur », et on les assemble à une certaine distance l’un de l’autre. Cet élément jumelé préfabriqué est ensuite utilisé comme « coffrage perdu » pour un noyau en béton coulé sur place (et il lui faut une couche isolante à l’extérieur pour un bâtiment résidentiel conforme aux normes actuelles).
On peut aussi procéder ainsi, en remplaçant la couche de béton coulé sur place par une couche isolante, on a alors du béton sur les deux surfaces extérieures. Cependant, la couche intérieure ne peut pas alors être conçue comme un « coffrage perdu » mince, mais doit structurellement remplacer la couche de béton coulé sur place de la variante expliquée précédemment. Elle pèse donc beaucoup plus, ce qui a un impact sur la logistique du transport et sur les dimensions possibles des plaques.
Regarde KX et XCON de
Dennert Massivhaus.
Je me joins aux remerciements d’Yvonne pour un projet d’architecte à Pâques