Qualité du béton correcte ou défaut - expériences ?

  • Erstellt am 05.06.2025 15:16:25

MachsSelbst

07.06.2025 10:49:47
  • #1
Je me demande parfois quels métiers vous exercez tous, car beaucoup traversent la vie complètement naïfs et confiants, comme un teckel.
Dans ce cas, on peut tout simplement épargner au demandeur davantage de travail, il n'est pas nécessaire de lui faire croire qu'il est possible de récupérer les images...

Je ne comprends absolument pas comment on peut réaliser un projet énorme comme une maison et ne même pas prendre de photos du chantier ou s’y rendre régulièrement pour poser des questions avant qu’une catastrophe ne survienne...

Cela peut parfois sembler un peu dur dans le détail, mais cela aide sûrement plus à la fin que tes conseils pleurnichards qui ne servent à rien de toute façon, car la catastrophe est déjà arrivée et le conducteur de travaux a déjà confirmé qu'il avait "accidentellement" supprimé les images... il sait donc que ce qui s’est passé est nul, il n’aura aucune intention d’ordonner une récupération des données. Rien que l’idée me fait déjà me retenir de rire trop fort...
 

MachsSelbst

07.06.2025 11:35:41
  • #2
Oh, quelqu'un avait un verre de trop hier, tant de bavardages...

Au final, il en reste ainsi. Il n'y a pas de photos, le chef de chantier saura pourquoi il les a supprimées. Personne n'y changera rien, pas même de gentils conseils.
Si l'on veut être pris dans les bras, on va chez mamie, ni un avocat ni un autre expert ne le feront, alors que manifestement on en aura besoin.

Il y a quelque chose de satirique à demander si la cave a été correctement réalisée après que tout a été remblayé contre le mur de la cave. Soyons honnêtes...
 

Arauki11

07.06.2025 11:57:19
  • #3
Non, ça marche aussi sans alcool, même si tu ne le connais probablement pas chez toi, depuis des années je n'aime plus l'alcool.......
Le/la OP a des questions qui peuvent te sembler ridicules en tant que vrai professionnel, alors tiens-toi simplement à l'écart si ça t'ennuie. Ce n'est pas parce qu'on n'a pas la parole chez soi qu'il faut forcément inonder les demandeurs ici de moqueries grossières.
Souvent demandé déjà mais on n'a toujours vu aucun détail ni photo de ta propre œuvre maîtresse...... ce n'est probablement pas très récent ta propre référence..... on devrait peut-être aider ?
 

11ant

07.06.2025 13:33:02
  • #4
Malgré tout l’amusement de voir qu’ici quelqu’un d’autre que moi se fait une fois traiter d’un ton rude, je ne peux que conseiller au TE de suivre les suggestions (si elles valent quelque chose) que je suppose venir de son avocat et de prendre la voie de la conciliation. Dans ce chantier – le TE laisse entendre qu’il a encore d’autres points problématiques en réserve – on est manifestement face à une défaillance multiple d’experts (à laquelle, selon moi, le TE lui-même a initialement préparé le terrain de manière naïve et imprudente). Celui qui a laissé la collecte des munitions à un second ne peut rien d’autre qu’essuyer un naufrage au cube devant la justice – sous de telles auspices, même une fusillade de Hornberg devient inévitablement une Waterloo. À mon avis, trois spécialistes sont nécessaires ici – et pas des experts suppléants de nouveau, attention : d’abord un expert en dommages qui classe les zones problématiques en fonction du coût raisonnable pour les sauver et les reconstruire ; ensuite un architecte qui obtient les autorisations pour ces modifications, planifie tout le bazar et conduit les travaux ; ainsi qu’un conseiller financier qui sert d’intermédiaire auprès de la banque pour décider quelles parties à démolir de l’objet hypothéqué ne seront pas reconstruites. Pour ma part, je ne serai absolument pas de la partie, par amour du métier je ne serais pour rien au monde prêt à participer à une telle expédition suicide chrétienne et je prie donc de renoncer déjà à une telle demande.

L’alternative serait malheureusement ici de laisser un objet défectueux jusque-là peut-être réparable tomber en ruine certaine, ce qui arriverait probablement en cas de délai de rénovation pour des raisons de préservation des preuves. D’après les récits jusqu’ici (à travers l’historique du fil du TE), je suppose même dans le meilleur des cas, sans séparation de parties au procès, un parcours en trois instances (et non pas jusqu’à un jugement satisfaisant pour le TE, mais seulement jusqu’à la prise de conscience du désespoir).

Je vois donc dans la voie de la conciliation une chance pour le TE de n’avoir payé à la fin « que » le double de ce qui était prévu. Ce ne sera pas moins cher – peu importe à quel point on estime « moralement » la faute chez les autres parties (à ceux qui pensent le contraire, je recommande « Leasing » de Gerhard Polt). Dans un procès contentieux, je ne vois pas le juge président pouvoir éviter de remonter un bon coup de doigt accusateur au TE pour sa part de responsabilité. Mais comme je l’ai dit, si au moins l’avocat vaut quelque chose, je viens probablement de répéter son sermon.
 
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