Le vendredi, on travaillait chez nous jusqu’à 14 heures, sauf s’il pleuvait à torrents quand il s’agissait de la structure brute. Dans ce cas, on arrêtait plus tôt pendant la semaine.
Le samedi était toujours un jour de congé.
En hiver, jusqu’à Noël, nous fournissions souvent aux artisans, pendant la pause déjeuner, de la nourriture chaude ainsi que suffisamment de café chaud, des biscuits et du chocolat, parce qu’il faisait très froid.
Un jour avant le réveillon, ils venaient presque tous encore une fois pour rendre le chantier étanche, bien qu’ils aient déjà eu deux jours de congés d’entreprise. C’est le charpentier qui les avait appelés.
Notre fête du toit n’a eu lieu qu’à la mi-janvier. Au lieu d’argent, ils tenaient absolument à faire la fête avec nous. Dois-je encore mentionner que c’était une fête super belle ?
Mon conseil : comporte-toi correctement et humainement envers tes artisans et ne lorgne pas d’autres chantiers. Tu as sûrement fixé des rendez-vous pour les réception des travaux, mais tant qu’ils sont respectés, tu n’as aucune raison d’agir.