Payday
29.11.2016 09:53:37
- #1
beaucoup des choses mentionnées sont absolument fondamentales pendant la phase de planification initiale, c’est-à-dire des questions avant la signature. On peut très bien se faire accorder des suppléments avant la signature, ils le font normalement très volontiers.
Fenêtres : ne peux-tu pas installer les grandes belles fenêtres du sol ailleurs et mettre à la place une petite fenêtre dans la cuisine ? as-tu plus de fenêtres pour le même prix. moins de fenêtres = neutre en coût, plus de fenêtres = plus cher
crédits pour suppression : tout d’abord, ils ne te rendent que le montant net, car chaque entreprise ne calcule qu’en net. La majoration pour le brut (au moins 19 %) est perdue. De plus, les pièces standard leur coûtent naturellement moins cher et ils veulent évidemment en tirer un bénéfice. Certaines positions ne sont pas non plus exclues du crédit. Pour la porte d’entrée, le fabricant de fenêtres vient quand même (pour les fenêtres), il ne peut donc pas déduire le déplacement par exemple pour la porte. C’est pareil pour la planification, où le planificateur/acheteur gagne seulement quelques minutes grâce à la porte, tandis qu’il commande/planifie le reste. Si tu achètes une porte ailleurs, il doit fournir beaucoup plus d’efforts en temps que l’économie réalisée par l’entreprise initiale. Il doit créer un dossier, rédiger une confirmation de commande, passer une commande séparée et évidemment effectuer un déplacement à part. Et tout cela est bien facturé. Et ensuite l’entreprise veut aussi gagner de l’argent, mais uniquement sur la porte d’entrée, alors que l’entreprise initiale avait réparti le bénéfice sur porte + fenêtres.
Conclusion : avant la signature de la maison, faire intégrer les extras dans le devis et ensuite faire soi-même une contre-offre. Les suppléments peuvent rapidement fondre s’il veut vraiment le contrat.
Chez les fournisseurs de maisons préfabriquées, où les murs sont même livrés prêts à poser, les extras ne sont parfois vraiment pas simples à réaliser en production. Lorsque la maison est montée sur place, les artisans doivent "seulement" savoir lire les plans (ce qui échoue plus souvent qu’on ne le croit au premier abord).
Fenêtres : ne peux-tu pas installer les grandes belles fenêtres du sol ailleurs et mettre à la place une petite fenêtre dans la cuisine ? as-tu plus de fenêtres pour le même prix. moins de fenêtres = neutre en coût, plus de fenêtres = plus cher
crédits pour suppression : tout d’abord, ils ne te rendent que le montant net, car chaque entreprise ne calcule qu’en net. La majoration pour le brut (au moins 19 %) est perdue. De plus, les pièces standard leur coûtent naturellement moins cher et ils veulent évidemment en tirer un bénéfice. Certaines positions ne sont pas non plus exclues du crédit. Pour la porte d’entrée, le fabricant de fenêtres vient quand même (pour les fenêtres), il ne peut donc pas déduire le déplacement par exemple pour la porte. C’est pareil pour la planification, où le planificateur/acheteur gagne seulement quelques minutes grâce à la porte, tandis qu’il commande/planifie le reste. Si tu achètes une porte ailleurs, il doit fournir beaucoup plus d’efforts en temps que l’économie réalisée par l’entreprise initiale. Il doit créer un dossier, rédiger une confirmation de commande, passer une commande séparée et évidemment effectuer un déplacement à part. Et tout cela est bien facturé. Et ensuite l’entreprise veut aussi gagner de l’argent, mais uniquement sur la porte d’entrée, alors que l’entreprise initiale avait réparti le bénéfice sur porte + fenêtres.
Conclusion : avant la signature de la maison, faire intégrer les extras dans le devis et ensuite faire soi-même une contre-offre. Les suppléments peuvent rapidement fondre s’il veut vraiment le contrat.
Chez les fournisseurs de maisons préfabriquées, où les murs sont même livrés prêts à poser, les extras ne sont parfois vraiment pas simples à réaliser en production. Lorsque la maison est montée sur place, les artisans doivent "seulement" savoir lire les plans (ce qui échoue plus souvent qu’on ne le croit au premier abord).