ToNelly59
07.03.2019 15:41:04
- #1
Bonjour à tous.
Nous avons emménagé dans notre maison individuelle au 1er février (construite en 1991). Malheureusement, nous avons constaté un dégât des eaux le 16 février, que nous avons immédiatement signalé à l’assurance habitation. Nous savions que les anciens propriétaires avaient déjà eu un dégât des eaux au rez-de-chaussée en 2017, qui avait été pris en charge.
Après la localisation de la fuite (salle de bain des invités, comme chez les anciens propriétaires), une entreprise est intervenue pour lancer le processus de séchage. L’entreprise A a constaté que le séchage ne pouvait pas être réalisé « simplement » avec des équipements de séchage, car des plaques de plaques de plâtre (Rigips) avaient été intégrées dans le sol. Selon l’entreprise A, le séchage du dégât des eaux chez les anciens propriétaires avait été mal effectué, car ils auraient également dû détecter le problème des plaques de plâtre. Selon l’entreprise A, le sol complet au rez-de-chaussée doit être ouvert et recouvert d’une nouvelle chape à cause de la plaque de plâtre. Cela impliquerait que la maison soit inhabitée pendant 3 mois. L’entreprise A a désormais signalé cela à l’assurance. Cette dernière m’a alors contacté pour me dire qu’elle souhaitait obtenir un second avis, précisément de la part de l’entreprise B, qui avait également réparé le dégât de 2017 des anciens propriétaires, mais qui, selon l’entreprise A, n’a pas procédé correctement.
Nous ne connaissons pas ce type de problème, c’est pourquoi j’espère recevoir ici des conseils.
Nous n’avons pas bonne impression que l’assurance veuille demander un second avis à l’entreprise B, qui, selon l’entreprise A, avait déjà « bricolé » lors du premier sinistre. Je comprends que l’assurance ne souhaite pas supporter de frais inutiles. Cependant, si une entreprise compétente A (qui m’a été présentée par l’assurance elle-même comme très professionnelle et expérimentée) signale déjà des erreurs dans la première réparation, j’ai l’impression que l’entreprise B est sollicitée pour un second avis afin de minimiser les coûts, indépendamment des éventuels coûts supplémentaires liés à un séchage « improvisé » qui pourraient survenir dans 2, 3 ou 5 ans.
Mon impression est-elle erronée ? Avons-nous un moyen d’assurer que le dégât soit réparé correctement et entièrement ?
Je suis très reconnaissant pour tout conseil ou avis !
Nous avons emménagé dans notre maison individuelle au 1er février (construite en 1991). Malheureusement, nous avons constaté un dégât des eaux le 16 février, que nous avons immédiatement signalé à l’assurance habitation. Nous savions que les anciens propriétaires avaient déjà eu un dégât des eaux au rez-de-chaussée en 2017, qui avait été pris en charge.
Après la localisation de la fuite (salle de bain des invités, comme chez les anciens propriétaires), une entreprise est intervenue pour lancer le processus de séchage. L’entreprise A a constaté que le séchage ne pouvait pas être réalisé « simplement » avec des équipements de séchage, car des plaques de plaques de plâtre (Rigips) avaient été intégrées dans le sol. Selon l’entreprise A, le séchage du dégât des eaux chez les anciens propriétaires avait été mal effectué, car ils auraient également dû détecter le problème des plaques de plâtre. Selon l’entreprise A, le sol complet au rez-de-chaussée doit être ouvert et recouvert d’une nouvelle chape à cause de la plaque de plâtre. Cela impliquerait que la maison soit inhabitée pendant 3 mois. L’entreprise A a désormais signalé cela à l’assurance. Cette dernière m’a alors contacté pour me dire qu’elle souhaitait obtenir un second avis, précisément de la part de l’entreprise B, qui avait également réparé le dégât de 2017 des anciens propriétaires, mais qui, selon l’entreprise A, n’a pas procédé correctement.
Nous ne connaissons pas ce type de problème, c’est pourquoi j’espère recevoir ici des conseils.
Nous n’avons pas bonne impression que l’assurance veuille demander un second avis à l’entreprise B, qui, selon l’entreprise A, avait déjà « bricolé » lors du premier sinistre. Je comprends que l’assurance ne souhaite pas supporter de frais inutiles. Cependant, si une entreprise compétente A (qui m’a été présentée par l’assurance elle-même comme très professionnelle et expérimentée) signale déjà des erreurs dans la première réparation, j’ai l’impression que l’entreprise B est sollicitée pour un second avis afin de minimiser les coûts, indépendamment des éventuels coûts supplémentaires liés à un séchage « improvisé » qui pourraient survenir dans 2, 3 ou 5 ans.
Mon impression est-elle erronée ? Avons-nous un moyen d’assurer que le dégât soit réparé correctement et entièrement ?
Je suis très reconnaissant pour tout conseil ou avis !