Sube
12.06.2021 14:04:41
- #1
Il s'agit de l'agrandissement prévu pour notre maison en rangée actuellement en rénovation.
À l'origine, il y avait une terrasse côté jardin. Nous voulons la fermer et ajouter en plus une extension d'un mètre de long. Des deux côtés, les terrasses des voisins sont séparées par des murs en béton d'environ 2 m de long, larges de 32 cm dont 16 cm se trouvent sur notre terrain et 16 cm sur ceux des voisins. Les murs en béton s'enfoncent d'environ un mètre dans le sol et sont solidement reliés à la maison, presque comme une partie des fondations. Au-dessus du sol, le béton s'élève sur un mètre et dessus se trouvent des briques de verre.
Lorsque nous avons parlé avec les voisins en septembre dernier dans le cadre de la demande de permis de construire (recueil des signatures), l’architecte a dit qu’il n’y avait aucun problème à enlever les murs en béton puis à construire nos fondations pour l’extension de notre côté.
Il y a quelques semaines, il est revenu avec une idée géniale. Maintenant, les murs de séparation doivent rester et notre extension sera construite à l’intérieur. Cela la rendra plus étroite (voir image). La motivation : enlever complètement les murs de séparation représente un trop grand risque pour les terrasses des voisins (glissement de terrain). Nous le comprenons, mais nous trouvons frustrant qu'on n'ait cette idée que presque un an après la première planification.

Nous trouverions bien sûr plus joli que notre salon ne se rétrécisse pas, et avons fait les propositions suivantes :
1) Scier les murs de séparation au-dessus du sol et poser notre extension dessus. Le voisin pourrait ensuite, s’il souhaite peut-être aussi construire une extension dans quelques années, faire la même chose => Apparemment impossible, surtout parce qu’on ne peut pas planifier la statique maintenant pour une extension hypothétique chez le voisin.
2) Variante modifiée du point 1) : scier les murs de séparation au-dessus du sol et construire notre extension légèrement en surplomb de façon à ne pas exercer de force sur le reste du mur de séparation. Le voisin pourrait alors faire de même ou scier le mur (une fois que nos fondations seront en place, il ne pourrait plus y avoir de glissement de terrain) => Apparemment impossible.
3) Scier verticalement au milieu (c’est-à-dire les 16 cm) des murs de séparation de notre côté => Apparemment impossible.
Actuellement, il semble donc que le plan incorporé ci-dessus soit celui qui sera mis en œuvre. J’aimerais avoir des avis pour savoir s’il n’y a vraiment pas de meilleure solution. En particulier, si nos propositions esquissées ci-dessus sont vraiment irréalisables.
Merci beaucoup !
À l'origine, il y avait une terrasse côté jardin. Nous voulons la fermer et ajouter en plus une extension d'un mètre de long. Des deux côtés, les terrasses des voisins sont séparées par des murs en béton d'environ 2 m de long, larges de 32 cm dont 16 cm se trouvent sur notre terrain et 16 cm sur ceux des voisins. Les murs en béton s'enfoncent d'environ un mètre dans le sol et sont solidement reliés à la maison, presque comme une partie des fondations. Au-dessus du sol, le béton s'élève sur un mètre et dessus se trouvent des briques de verre.
Lorsque nous avons parlé avec les voisins en septembre dernier dans le cadre de la demande de permis de construire (recueil des signatures), l’architecte a dit qu’il n’y avait aucun problème à enlever les murs en béton puis à construire nos fondations pour l’extension de notre côté.
Il y a quelques semaines, il est revenu avec une idée géniale. Maintenant, les murs de séparation doivent rester et notre extension sera construite à l’intérieur. Cela la rendra plus étroite (voir image). La motivation : enlever complètement les murs de séparation représente un trop grand risque pour les terrasses des voisins (glissement de terrain). Nous le comprenons, mais nous trouvons frustrant qu'on n'ait cette idée que presque un an après la première planification.
Nous trouverions bien sûr plus joli que notre salon ne se rétrécisse pas, et avons fait les propositions suivantes :
1) Scier les murs de séparation au-dessus du sol et poser notre extension dessus. Le voisin pourrait ensuite, s’il souhaite peut-être aussi construire une extension dans quelques années, faire la même chose => Apparemment impossible, surtout parce qu’on ne peut pas planifier la statique maintenant pour une extension hypothétique chez le voisin.
2) Variante modifiée du point 1) : scier les murs de séparation au-dessus du sol et construire notre extension légèrement en surplomb de façon à ne pas exercer de force sur le reste du mur de séparation. Le voisin pourrait alors faire de même ou scier le mur (une fois que nos fondations seront en place, il ne pourrait plus y avoir de glissement de terrain) => Apparemment impossible.
3) Scier verticalement au milieu (c’est-à-dire les 16 cm) des murs de séparation de notre côté => Apparemment impossible.
Actuellement, il semble donc que le plan incorporé ci-dessus soit celui qui sera mis en œuvre. J’aimerais avoir des avis pour savoir s’il n’y a vraiment pas de meilleure solution. En particulier, si nos propositions esquissées ci-dessus sont vraiment irréalisables.
Merci beaucoup !