matziradfahren
10.11.2012 15:07:07
- #1
Bonjour à tous,
maintenant c’est arrivé, le premier vrai défaut de construction.
Comme la panne basse n’est pas haute de 20 cm comme prévu et ne repose pas à l’extérieur sur la ceinture en béton, mais mesure seulement 14 cm de haut et est centrée sur la ceinture, toute la toiture est 12 cm plus basse que prévu.
Et maintenant ?
Le conducteur de travaux rejette la faute sur la charpenterie – dont le chef a reconnu l’incompétence de son employé et avoué l’erreur. Par téléphone, le maître charpentier a déjà fait des concessions concernant « un geste commercial pour d’autres commandes, par exemple pour le carport prévu ».
Pour résoudre le problème, il faudrait couvrir le toit et le démonter complètement. Tous les poutres transversales et les pannes basses devraient être échangées et toutes les fermes reprises – de mon humble avis. Certainement un montant à cinq chiffres et en plus une perte de face. Combien de fois un toit est-il vraiment démonté ?
Des conversations téléphoniques, il était évidemment clair qu’une reconstruction ne serait pas économiquement justifiable.
On pourrait, à contrecœur, vivre avec la perte de 12 cm dans la zone de la pente, mais ce n’est pas ce qu’on peut appeler joli.
Que pensez-vous, faut-il négocier le meilleur compromis possible – par exemple des fenêtres de toit, un escalier d’accès au grenier ainsi qu’un geste commercial pour le carport – ou un expert, un tribunal, etc., même si cela ne déboucherait que sur un compromis et que cela risquerait de s’éterniser ?
:confused:
Cordialement,
Matze
maintenant c’est arrivé, le premier vrai défaut de construction.
Comme la panne basse n’est pas haute de 20 cm comme prévu et ne repose pas à l’extérieur sur la ceinture en béton, mais mesure seulement 14 cm de haut et est centrée sur la ceinture, toute la toiture est 12 cm plus basse que prévu.
Et maintenant ?
Le conducteur de travaux rejette la faute sur la charpenterie – dont le chef a reconnu l’incompétence de son employé et avoué l’erreur. Par téléphone, le maître charpentier a déjà fait des concessions concernant « un geste commercial pour d’autres commandes, par exemple pour le carport prévu ».
Pour résoudre le problème, il faudrait couvrir le toit et le démonter complètement. Tous les poutres transversales et les pannes basses devraient être échangées et toutes les fermes reprises – de mon humble avis. Certainement un montant à cinq chiffres et en plus une perte de face. Combien de fois un toit est-il vraiment démonté ?
Des conversations téléphoniques, il était évidemment clair qu’une reconstruction ne serait pas économiquement justifiable.
On pourrait, à contrecœur, vivre avec la perte de 12 cm dans la zone de la pente, mais ce n’est pas ce qu’on peut appeler joli.
Que pensez-vous, faut-il négocier le meilleur compromis possible – par exemple des fenêtres de toit, un escalier d’accès au grenier ainsi qu’un geste commercial pour le carport – ou un expert, un tribunal, etc., même si cela ne déboucherait que sur un compromis et que cela risquerait de s’éterniser ?
:confused:
Cordialement,
Matze