Je tiens seulement à ce que, lorsque des éléments pendent à la grue, celle-ci ne soit pas déplacée au-dessus de notre maison. Le jardin, comme je l'ai dit, me paraît totalement tranquille. [...] Ensuite, nous formulerons la confirmation de manière à ce que, dans la mesure du possible, on évite de faire passer la grue au-dessus du bâtiment, mais que le jardin puisse être utilisé pour le passage.
Il suffit d'accorder le droit de déplacement. La probabilité d'un accident de chantier est extrêmement faible et en plus assurée. La probabilité d'un mauvais démarrage de voisin est très élevée en cas de non-approbation.
Le voisin devrait présenter dans un dessin à l’échelle où se trouve la grue et quelle est la zone de déplacement de la grue. Cela permettrait de voir où la grue passerait au-dessus du jardin ou de la maison. Le poids d’un panneau mural, en cas de chute, est effectif avec un facteur 1, quelle que soit la probabilité infime que cela se produise. Les statistiques sont pour les actuaires d’assurance, en cas de sinistre l’événement redouté est entièrement évalué. C’est pourquoi ma proposition est de se coordonner en conséquence, pour que la maison soit vide de personnes en cas de danger et que seul le matériel souffre.
Tu pourras alors aussi t’opposer. Cela se terminera alors comme dans le jugement.
Un rejet motivé devrait être pris en compte par le tribunal, et par la suite il faudrait dépasser un « je fais des histoires juste parce que je peux », mais aussi évaluer de manière appropriée le danger et les efforts pour éviter le cas de force majeure. Il n’est donc pas nécessaire que quelqu’un endure d’être écrasé simplement parce que le voisin a aussi des droits.