Baufragende
18.06.2021 10:53:02
- #1
Cher forum !
Cet hiver, j’ai constaté de l’humidité dans le toit (condensation). La maison a environ 30 ans, je ne l’avais pas remarqué auparavant, d’ailleurs je ne suis presque jamais allé au grenier en hiver. Il s'agit d’une mansarde, c’est-à-dire que le véritable grenier n’est qu’un comble perdu. Dès qu’il fait plus chaud, cela sèche complètement. L’expert a dit que la pare-vapeur ou son collage s’étaient probablement détériorés au fil des ans et qu’il fallait maintenant les remplacer.
Cela signifie : enlever les plaques GKF existantes, retirer la pare-vapeur, éventuellement aussi l’isolation (12 cm de laine de verre), nouvelle sous-structure, épaissir l’isolation, nouvelle pare-vapeur, nouvelles plaques GKF.
Le plaquiste a dit que l’isolation de 12 cm devrait être augmentée à 25 cm. Je ne comprends pas tout à fait pourquoi cette isolation supplémentaire est si importante techniquement, car l’humidité se trouve dans le grenier (isolation/pannes) et non au plafond de l’étage supérieur (donc celui-ci n’est pas trop froid). En principe, il est bien sûr logique de poser plus d’isolation lorsqu’on a déjà ouvert le plafond. La question est de savoir si les 25 cm sont vraiment nécessaires. Le plaquiste a dit que moins d’épaisseur (même avec un isolant performant) n’a pas de sens, car l’isolation doit être plus épaisse que les pannes pour éviter les ponts thermiques. Qu’en pensez-vous ?
Serait-il aussi une option de garder la pare-vapeur défectueuse et de poser une isolation sous chevrons sur le toit (afin que le comble perdu soit moins froid et que l’humidité ait donc moins d’importance) ?
Il s'agit d’une maison avec plafond en poutres enserrantes et comble perdu. La composition du plafond du dernier étage vers le haut serait donc : plaques GKF 1,5 cm, pare-vapeur, sous-structure en bois pour les plaques GKF, laine de verre 12 cm avec les pannes (sur la pente) ainsi que poutres enserrantes et solives transversales (dans le comble perdu). Plaques Heraklit EPV 3,5 cm sur la sous-toiture dans le comble perdu.
Le toit lui-même n’a qu’une membrane sous toiture, des liteaux et des tuiles = toit non isolé au-dessus du comble perdu, au niveau de la pente murale, il est bien sûr isolé avec les 12 cm de laine de verre entre les pannes.
J’ai constaté l’humidité en hiver sur toute la pente nord avec un point central au niveau de la fenêtre de toit de la salle de bains, mais aussi au milieu du comble perdu il y avait (bien que plus faible) des zones humides. C’est pourquoi l’expert a dit que la pare-vapeur avait probablement un problème à plus d’un endroit.
Les photos de la construction des années 80 montrent aussi que la pare-vapeur/barrière n’a apparemment pas été fixée sur le plâtre mais directement sur le mur (voir 5e photo).





Cet hiver, j’ai constaté de l’humidité dans le toit (condensation). La maison a environ 30 ans, je ne l’avais pas remarqué auparavant, d’ailleurs je ne suis presque jamais allé au grenier en hiver. Il s'agit d’une mansarde, c’est-à-dire que le véritable grenier n’est qu’un comble perdu. Dès qu’il fait plus chaud, cela sèche complètement. L’expert a dit que la pare-vapeur ou son collage s’étaient probablement détériorés au fil des ans et qu’il fallait maintenant les remplacer.
Cela signifie : enlever les plaques GKF existantes, retirer la pare-vapeur, éventuellement aussi l’isolation (12 cm de laine de verre), nouvelle sous-structure, épaissir l’isolation, nouvelle pare-vapeur, nouvelles plaques GKF.
Le plaquiste a dit que l’isolation de 12 cm devrait être augmentée à 25 cm. Je ne comprends pas tout à fait pourquoi cette isolation supplémentaire est si importante techniquement, car l’humidité se trouve dans le grenier (isolation/pannes) et non au plafond de l’étage supérieur (donc celui-ci n’est pas trop froid). En principe, il est bien sûr logique de poser plus d’isolation lorsqu’on a déjà ouvert le plafond. La question est de savoir si les 25 cm sont vraiment nécessaires. Le plaquiste a dit que moins d’épaisseur (même avec un isolant performant) n’a pas de sens, car l’isolation doit être plus épaisse que les pannes pour éviter les ponts thermiques. Qu’en pensez-vous ?
Serait-il aussi une option de garder la pare-vapeur défectueuse et de poser une isolation sous chevrons sur le toit (afin que le comble perdu soit moins froid et que l’humidité ait donc moins d’importance) ?
Il s'agit d’une maison avec plafond en poutres enserrantes et comble perdu. La composition du plafond du dernier étage vers le haut serait donc : plaques GKF 1,5 cm, pare-vapeur, sous-structure en bois pour les plaques GKF, laine de verre 12 cm avec les pannes (sur la pente) ainsi que poutres enserrantes et solives transversales (dans le comble perdu). Plaques Heraklit EPV 3,5 cm sur la sous-toiture dans le comble perdu.
Le toit lui-même n’a qu’une membrane sous toiture, des liteaux et des tuiles = toit non isolé au-dessus du comble perdu, au niveau de la pente murale, il est bien sûr isolé avec les 12 cm de laine de verre entre les pannes.
J’ai constaté l’humidité en hiver sur toute la pente nord avec un point central au niveau de la fenêtre de toit de la salle de bains, mais aussi au milieu du comble perdu il y avait (bien que plus faible) des zones humides. C’est pourquoi l’expert a dit que la pare-vapeur avait probablement un problème à plus d’un endroit.
Les photos de la construction des années 80 montrent aussi que la pare-vapeur/barrière n’a apparemment pas été fixée sur le plâtre mais directement sur le mur (voir 5e photo).