mikekasky
23.10.2020 22:26:34
- #1
Nous avons pu reprendre un container logement/bureau que nous souhaitons installer comme maison de vacances. Le chauffage se fait au gaz mais de manière économique. Maintenant, l’isolation pose problème car il y a des avis contradictoires.
Nous voulions à l’intérieur, sur la paroi métallique du container, créer un mur à caissons avec des lattes en bois et remplir les espaces avec des panneaux isolants en jute thermo. Ensuite viendraient des panneaux de particules recouverts de liège en guise de frein à vapeur. Maintenant, nous entendons qu’il faudrait une barrière à vapeur pour que l’isolation en jute ne s’imprègne pas d’eau. Mais si de l’humidité pénètre quand même dans les espaces, elle ne pourrait plus s’échapper. On met aussi en garde contre cela.
J’ai maintenant lu à propos de freins à vapeur hygroadaptatifs. En particulier, l’affirmation suivante me semble adaptée à une paroi métallique imperméable à la vapeur d’eau : « Si la face extérieure des éléments est imperméable à la vapeur d’eau (étanche à la diffusion), le matériau crée un important potentiel de séchage arrière, souvent indispensable pour la protection contre les dommages aux constructions. » (energie-fachberater-de) Dans ce cas, un frein à vapeur hygroadaptatif serait INDISPENSABLE chez nous.
Mais concernant le mode de fonctionnement, les explications sur Internet semblent contradictoires : « Cela fait que l’hiver, lorsque la pression de l’humidité sur la construction est la plus forte, le frein à vapeur laisse presque aucune humidité pénétrer dans l’élément. » (wissenwiki) « En hiver, avec une faible humidité relative de l’air, ils sont très résistants à la diffusion » (wissenwiki) –> [grande pression d’humidité = forte humidité de l’air ou pas ?] « Si la quantité de vapeur d’eau prête à diffuser est trop importante, la résistance des matériaux augmente et protège les éléments contre une exposition excessive à l’humidité. » (sanier-de)
Notre scénario est que, en hiver, avec un chauffage économique, il peut y avoir condensation dues à la respiration et à la cuisine/douche. Une barrière à vapeur empêcherait l’isolation de s’imprégner d’humidité mais ne laisserait pas non plus l’humidité s’échapper de la construction murale. Un frein à vapeur hygroadaptatif se refermerait alors et ne s’ouvrirait à nouveau que lorsqu’il fait plus chaud. Ce serait alors la solution optimale dans notre cas. Ou y a-t-il une erreur de raisonnement quelque part ?
Merci beaucoup pour tout retour !
Michael
Nous voulions à l’intérieur, sur la paroi métallique du container, créer un mur à caissons avec des lattes en bois et remplir les espaces avec des panneaux isolants en jute thermo. Ensuite viendraient des panneaux de particules recouverts de liège en guise de frein à vapeur. Maintenant, nous entendons qu’il faudrait une barrière à vapeur pour que l’isolation en jute ne s’imprègne pas d’eau. Mais si de l’humidité pénètre quand même dans les espaces, elle ne pourrait plus s’échapper. On met aussi en garde contre cela.
J’ai maintenant lu à propos de freins à vapeur hygroadaptatifs. En particulier, l’affirmation suivante me semble adaptée à une paroi métallique imperméable à la vapeur d’eau : « Si la face extérieure des éléments est imperméable à la vapeur d’eau (étanche à la diffusion), le matériau crée un important potentiel de séchage arrière, souvent indispensable pour la protection contre les dommages aux constructions. » (energie-fachberater-de) Dans ce cas, un frein à vapeur hygroadaptatif serait INDISPENSABLE chez nous.
Mais concernant le mode de fonctionnement, les explications sur Internet semblent contradictoires : « Cela fait que l’hiver, lorsque la pression de l’humidité sur la construction est la plus forte, le frein à vapeur laisse presque aucune humidité pénétrer dans l’élément. » (wissenwiki) « En hiver, avec une faible humidité relative de l’air, ils sont très résistants à la diffusion » (wissenwiki) –> [grande pression d’humidité = forte humidité de l’air ou pas ?] « Si la quantité de vapeur d’eau prête à diffuser est trop importante, la résistance des matériaux augmente et protège les éléments contre une exposition excessive à l’humidité. » (sanier-de)
Notre scénario est que, en hiver, avec un chauffage économique, il peut y avoir condensation dues à la respiration et à la cuisine/douche. Une barrière à vapeur empêcherait l’isolation de s’imprégner d’humidité mais ne laisserait pas non plus l’humidité s’échapper de la construction murale. Un frein à vapeur hygroadaptatif se refermerait alors et ne s’ouvrirait à nouveau que lorsqu’il fait plus chaud. Ce serait alors la solution optimale dans notre cas. Ou y a-t-il une erreur de raisonnement quelque part ?
Merci beaucoup pour tout retour !
Michael