recycler
14.06.2018 12:22:46
- #1
Cher forum, 13 ans après ma dernière isolation entre chevrons de toit ou cloison sèche, j'ai quelques courtes questions pour savoir si des évolutions ont eu lieu dans la manière de procéder ou dans les matériaux.
Une pièce d'environ 65 m² au-dessus d'un garage est aménagée en espace habitable. Sous le plafond du garage, 160 mm d'isolation thermique complète ont été appliqués et le chauffage se fera avec un chauffage au sol et une pompe à chaleur. Le charpentier a relevé la charpente d'environ 1 mètre et a construit les murs en ossature bois. Ceux-ci sont déjà enduits à l'extérieur.
Les murs à ossature bois et les chevrons ont une largeur de 190 mm. Le charpentier m'a conseillé d'utiliser de la laine à serrer de 200 mm, c'est-à-dire qu'elle remplit complètement l'espace isolant et qu'il n'y a pas de "ventilation" derrière les chevrons comme je l'avais "appris". À l'extérieur, sous les tuiles, une membrane de protection contre l'humidité correspondante est posée sur le toit.
1.) Dois-je travailler avec ou sans ventilation (donc 180 mm d'isolation pour les chevrons au lieu de 200 mm, les murs étant entièrement remplis) ?
2.) La dernière fois, bien que d'environ deux fois plus cher, je n'avais pas utilisé de pare-vapeur mais une "membrane climatique" qui est aussi quelque peu perméable à la diffusion (ressemble à du papier kraft) et qui est censée améliorer le climat intérieur. Est-ce encore d'actualité aujourd'hui ou encore autorisé en raison du règlement sur la protection thermique, ou utilise-t-on uniquement des films pare-vapeur maintenant ?
3.) Je fais aussi moi-même le cloisonnage avec des plaques de plâtre ainsi que l'encadrement des fenêtres de toit. La dernière fois, lors du jointoiement des plaques, je n'avais pas inséré de bandes en gaze et il n'y a eu aucune fissure partout dans la maison sur les plaques de plâtre. Les bandes en gaze sont-elles donc indispensables (et donc le 3e passage de jointoiement) ?
4.) Entre les solives de toit et les plaques de plâtre, la dernière fois j'avais collé une bande en mousse (censée réduire les tensions et donc les fissures). Malheureusement, cette bande s'enlève très mal ou avec de l'acrylique. Est-ce encore pertinent aujourd'hui ?
Merci beaucoup pour votre aide, mais par exemple en posant le sol, j'ai vu que beaucoup de choses ont évolué et je veux aussi bien faire pour le cloisonnage / l'isolation.
Cordialement d’Andechs
Michael
Une pièce d'environ 65 m² au-dessus d'un garage est aménagée en espace habitable. Sous le plafond du garage, 160 mm d'isolation thermique complète ont été appliqués et le chauffage se fera avec un chauffage au sol et une pompe à chaleur. Le charpentier a relevé la charpente d'environ 1 mètre et a construit les murs en ossature bois. Ceux-ci sont déjà enduits à l'extérieur.
Les murs à ossature bois et les chevrons ont une largeur de 190 mm. Le charpentier m'a conseillé d'utiliser de la laine à serrer de 200 mm, c'est-à-dire qu'elle remplit complètement l'espace isolant et qu'il n'y a pas de "ventilation" derrière les chevrons comme je l'avais "appris". À l'extérieur, sous les tuiles, une membrane de protection contre l'humidité correspondante est posée sur le toit.
1.) Dois-je travailler avec ou sans ventilation (donc 180 mm d'isolation pour les chevrons au lieu de 200 mm, les murs étant entièrement remplis) ?
2.) La dernière fois, bien que d'environ deux fois plus cher, je n'avais pas utilisé de pare-vapeur mais une "membrane climatique" qui est aussi quelque peu perméable à la diffusion (ressemble à du papier kraft) et qui est censée améliorer le climat intérieur. Est-ce encore d'actualité aujourd'hui ou encore autorisé en raison du règlement sur la protection thermique, ou utilise-t-on uniquement des films pare-vapeur maintenant ?
3.) Je fais aussi moi-même le cloisonnage avec des plaques de plâtre ainsi que l'encadrement des fenêtres de toit. La dernière fois, lors du jointoiement des plaques, je n'avais pas inséré de bandes en gaze et il n'y a eu aucune fissure partout dans la maison sur les plaques de plâtre. Les bandes en gaze sont-elles donc indispensables (et donc le 3e passage de jointoiement) ?
4.) Entre les solives de toit et les plaques de plâtre, la dernière fois j'avais collé une bande en mousse (censée réduire les tensions et donc les fissures). Malheureusement, cette bande s'enlève très mal ou avec de l'acrylique. Est-ce encore pertinent aujourd'hui ?
Merci beaucoup pour votre aide, mais par exemple en posant le sol, j'ai vu que beaucoup de choses ont évolué et je veux aussi bien faire pour le cloisonnage / l'isolation.
Cordialement d’Andechs
Michael