ssewe
09.03.2018 18:03:21
- #1
Bonjour à tous,
pour une brève introduction : nous avons une maison mitoyenne (construite en 1969) avec un grenier déjà aménagé (fin des années 80/début des années 90). Maintenant que tous les autres travaux sont lentement terminés, le grenier doit à nouveau être réactivé (chambre d'enfant pour la grande fille + coin bureau pour papa), de préférence avec un budget limité.
Déjà aménagé signifie que le grenier, lors de l’achat, était équipé d’un plancher en lames de bois + d’une isolation intérieure (laine isolante aluminisée) + d’un revêtement de plafond (profils en bois) (travail personnel de l’ancien propriétaire). Les anciennes fenêtres du grenier ont déjà été remplacées par nous, nous avons entièrement retiré et éliminé les profils en bois, car nous voulions voir ce qui se trouvait en dessous et à un endroit une marmotte (ou autre) avait déjà rongé l’isolation. L’humidité ne semble pas avoir posé problème jusqu’à présent, les profils de plafond et les poutres étaient tous secs sauf à un endroit défectueux dû à une tuile déplacée (maintenant réparée).
Maintenant, un nouveau revêtement doit être installé (cette fois pas en bois, mais en plaques de plâtre) et l’isolation doit être réalisée de manière optimale (et économique).
La question est donc : que faire de l’isolation existante ?
Elle ressemble à ceci : matériau isolant = laine isolante aluminisée (type exact = ?). Derrière l’isolation, c’est-à-dire entre l’isolation et les tuiles, il y a apparemment seulement une couche de feutre bitumé. Rien d’autre. Les poutres doivent faire environ 10 à 12 cm d’épaisseur (12 cm près des fenêtres de toit, sinon 10 cm). Par conséquent, l’isolation fait aussi environ 10 cm d’épaisseur. Au-dessus se trouve l’ancienne lattage sur lequel les profils en bois étaient fixés.
Un conseiller en énergie et plusieurs artisans (plaquistes) ont dit que l’ancienne isolation était encore correcte, donc : boucher les trous existants avec du ruban aluminium, poser ensuite un frein vapeur dessous, puis fixer le nouveau revêtement. C’est fini.
Cependant, d’après tout ce qu’on lit, j’ai des doutes que ce soit aussi simple. Surtout : un frein vapeur sous l’isolation (donc entre l’isolation ancienne et le nouveau revêtement de plafond) a-t-il vraiment un sens ? Car l’isolation aluminisée fonctionne pratiquement comme un frein vapeur, si bien que l’humidité pourrait s’accumuler entre le film aluminisé et le frein vapeur ? Ou bien elle trouve son chemin à travers des fuites (incontestablement présentes) entre l’ancienne isolation et les chevrons, etc., et provoque éventuellement des dégâts d’humidité là ?
Serait-il donc éventuellement judicieux de combiner « perforer le film aluminisé (avec un rouleau piqueur) » + frein vapeur supplémentaire ? Ou alors remplacer complètement l’ancienne isolation ? Le souci principal serait que je n’aggrave pas la situation et que tout redevienne vivable avec le moins d’effort (et de dépenses) possible.
Merci d’avance pour vos conseils et/ou retours d’expérience. Je joins quelques photos (j’espère que ça fonctionne)...

Cordialement,
Stephan
pour une brève introduction : nous avons une maison mitoyenne (construite en 1969) avec un grenier déjà aménagé (fin des années 80/début des années 90). Maintenant que tous les autres travaux sont lentement terminés, le grenier doit à nouveau être réactivé (chambre d'enfant pour la grande fille + coin bureau pour papa), de préférence avec un budget limité.
Déjà aménagé signifie que le grenier, lors de l’achat, était équipé d’un plancher en lames de bois + d’une isolation intérieure (laine isolante aluminisée) + d’un revêtement de plafond (profils en bois) (travail personnel de l’ancien propriétaire). Les anciennes fenêtres du grenier ont déjà été remplacées par nous, nous avons entièrement retiré et éliminé les profils en bois, car nous voulions voir ce qui se trouvait en dessous et à un endroit une marmotte (ou autre) avait déjà rongé l’isolation. L’humidité ne semble pas avoir posé problème jusqu’à présent, les profils de plafond et les poutres étaient tous secs sauf à un endroit défectueux dû à une tuile déplacée (maintenant réparée).
Maintenant, un nouveau revêtement doit être installé (cette fois pas en bois, mais en plaques de plâtre) et l’isolation doit être réalisée de manière optimale (et économique).
La question est donc : que faire de l’isolation existante ?
Elle ressemble à ceci : matériau isolant = laine isolante aluminisée (type exact = ?). Derrière l’isolation, c’est-à-dire entre l’isolation et les tuiles, il y a apparemment seulement une couche de feutre bitumé. Rien d’autre. Les poutres doivent faire environ 10 à 12 cm d’épaisseur (12 cm près des fenêtres de toit, sinon 10 cm). Par conséquent, l’isolation fait aussi environ 10 cm d’épaisseur. Au-dessus se trouve l’ancienne lattage sur lequel les profils en bois étaient fixés.
Un conseiller en énergie et plusieurs artisans (plaquistes) ont dit que l’ancienne isolation était encore correcte, donc : boucher les trous existants avec du ruban aluminium, poser ensuite un frein vapeur dessous, puis fixer le nouveau revêtement. C’est fini.
Cependant, d’après tout ce qu’on lit, j’ai des doutes que ce soit aussi simple. Surtout : un frein vapeur sous l’isolation (donc entre l’isolation ancienne et le nouveau revêtement de plafond) a-t-il vraiment un sens ? Car l’isolation aluminisée fonctionne pratiquement comme un frein vapeur, si bien que l’humidité pourrait s’accumuler entre le film aluminisé et le frein vapeur ? Ou bien elle trouve son chemin à travers des fuites (incontestablement présentes) entre l’ancienne isolation et les chevrons, etc., et provoque éventuellement des dégâts d’humidité là ?
Serait-il donc éventuellement judicieux de combiner « perforer le film aluminisé (avec un rouleau piqueur) » + frein vapeur supplémentaire ? Ou alors remplacer complètement l’ancienne isolation ? Le souci principal serait que je n’aggrave pas la situation et que tout redevienne vivable avec le moins d’effort (et de dépenses) possible.
Merci d’avance pour vos conseils et/ou retours d’expérience. Je joins quelques photos (j’espère que ça fonctionne)...
Cordialement,
Stephan