Je ne réagirais pas à cela. Le risque qu’un avocat soit déjà en coulisses aux commandes me semble assez élevé. Libre à la devise : collecter des déclarations écrites de ta part, tendre des pièges, etc., afin de pouvoir ensuite construire quelque chose. Car si une lettre d’avocat t’arrive directement, le risque est trop grand que tu ailles toi aussi directement chez un avocat et que tu ne fasses plus de déclarations irréfléchies.
Le fait est qu’il veut de l’argent. Donc il ne sera de toute façon satisfait d’aucune justification de ta part. Son numéro de portable sur la liste noire du téléphone immédiatement, etc.
Le temps est de ton côté, car un expert mandaté plus tard dans le conflit aura toujours plus de difficultés à déterminer si le dommage causé par l’humidité est apparu avant ou après l’achat, et à le noter ainsi dans le rapport d’expertise.
Donc, pour faire court : ne pas répondre aux mails, rejeter les appels, toujours répondre avec un faux nom en cas de numéro masqué/inconnu et attendre la réaction de l’autre. Si une lettre formelle avec une demande et un délai arrive, alors au tour de l’avocat.
...quel genre d’expert en bâtiment était-ce donc ? C’est bien la première chose qu’on cherche : dans le [KG] et au [EG], des dégâts d’humidité, c’est l’ouverture à la négociation par excellence. Il faut juste parfois déplacer une armoire.