barton
24.02.2013 14:49:18
- #1
Bonjour à tous,
nous voulons rénover notre maison. Dans ce cadre, nous installons un chauffage et une isolation (il n’y en a pas dans la maison). Cela réduit la hauteur des pièces à 2,30 mètres.
Notre maison a au rez-de-chaussée un grenier aménagé. La première question serait comment nous devrions concevoir le plafond entre le rez-de-chaussée et l’étage.
Question 1, option 1 : Pour avoir plus de hauteur sous plafond, nous envisagions de libérer les poutres portantes entre le rez-de-chaussée et l’étage. Ainsi, nous aurions 2,30 m jusqu’aux poutres et 2,5 m jusqu’au dessus des poutres.
Avantage : Conservation de la structure existante.
Inconvénients : (1) Mesures préventives contre le plancher qui craque à l’étage, (2) planification précise pour améliorer l’acoustique, (3) au rez-de-chaussée seulement 2,3 m jusqu’au bas des poutres, (4) coûts supplémentaires possibles pour la réalisation de l’acoustique et du plancher anti-craquement ?
Question 1, option 2 : Comme nous allons enlever l’étage/le toit, il serait aussi possible d’enlever les poutres entre le rez-de-chaussée et l’étage, de monter une rangée de briques puis de poser une dalle en béton dessus.
Avantages : Moderne, l’acoustique est garantie grâce à une planification préalable. La hauteur de la pièce est librement définissable.
Inconvénients : Coûts pour le toit, démontage des poutres existantes.
Ai-je oublié quelque chose ici ? Jusqu’à présent, j’en ai conclu que l’option 1 est certes possible, mais entraîne aussi des coûts supplémentaires. D'où également la question de savoir si l’option 2 n’est pas préférable, car éventuellement aussi coûteuse, mais avec des avantages définissables ?
Question 2 :
Ma deuxième question concerne la construction entre l’étage et le toit. Une fois le rez-de-chaussée terminé, un étage complet doit être construit (sans pentes). Un toit sera ensuite posé sur cet étage. Mon architecte m’a dit qu’il faudrait couler un chaînage en dernière rangée de l’étage. De plus, une dalle en béton armé devrait être posée pour rigidifier davantage la maison. Je connais la pratique où des lanières plates sont fixées au toit pour assurer la rigidité. Par conséquent, je ne comprends pas pourquoi une dalle supplémentaire en béton entre l’étage et le toit devrait être posée. Je trouve qu’un plafond en poutres en bois et isolation thermique est mieux, car il crée automatiquement une couche isolante entre le toit et l’étage. Qu’en pensez-vous ? Pouvez-vous comprendre l’argumentation de l’architecte ?
Question 3 :
Est-il éventuellement possible de poser les poutres actuellement entre le rez-de-chaussée et l’étage plus tard entre l’étage et le toit, ou cela n’apporte-t-il pas d’avantages supplémentaires (au niveau des coûts) car les charpentiers préfèrent préfabriquer beaucoup et le travail sur les poutres sur place serait même plus cher pour nous ?
Je vous serais reconnaissant pour votre retour !
nous voulons rénover notre maison. Dans ce cadre, nous installons un chauffage et une isolation (il n’y en a pas dans la maison). Cela réduit la hauteur des pièces à 2,30 mètres.
Notre maison a au rez-de-chaussée un grenier aménagé. La première question serait comment nous devrions concevoir le plafond entre le rez-de-chaussée et l’étage.
Question 1, option 1 : Pour avoir plus de hauteur sous plafond, nous envisagions de libérer les poutres portantes entre le rez-de-chaussée et l’étage. Ainsi, nous aurions 2,30 m jusqu’aux poutres et 2,5 m jusqu’au dessus des poutres.
Avantage : Conservation de la structure existante.
Inconvénients : (1) Mesures préventives contre le plancher qui craque à l’étage, (2) planification précise pour améliorer l’acoustique, (3) au rez-de-chaussée seulement 2,3 m jusqu’au bas des poutres, (4) coûts supplémentaires possibles pour la réalisation de l’acoustique et du plancher anti-craquement ?
Question 1, option 2 : Comme nous allons enlever l’étage/le toit, il serait aussi possible d’enlever les poutres entre le rez-de-chaussée et l’étage, de monter une rangée de briques puis de poser une dalle en béton dessus.
Avantages : Moderne, l’acoustique est garantie grâce à une planification préalable. La hauteur de la pièce est librement définissable.
Inconvénients : Coûts pour le toit, démontage des poutres existantes.
Ai-je oublié quelque chose ici ? Jusqu’à présent, j’en ai conclu que l’option 1 est certes possible, mais entraîne aussi des coûts supplémentaires. D'où également la question de savoir si l’option 2 n’est pas préférable, car éventuellement aussi coûteuse, mais avec des avantages définissables ?
Question 2 :
Ma deuxième question concerne la construction entre l’étage et le toit. Une fois le rez-de-chaussée terminé, un étage complet doit être construit (sans pentes). Un toit sera ensuite posé sur cet étage. Mon architecte m’a dit qu’il faudrait couler un chaînage en dernière rangée de l’étage. De plus, une dalle en béton armé devrait être posée pour rigidifier davantage la maison. Je connais la pratique où des lanières plates sont fixées au toit pour assurer la rigidité. Par conséquent, je ne comprends pas pourquoi une dalle supplémentaire en béton entre l’étage et le toit devrait être posée. Je trouve qu’un plafond en poutres en bois et isolation thermique est mieux, car il crée automatiquement une couche isolante entre le toit et l’étage. Qu’en pensez-vous ? Pouvez-vous comprendre l’argumentation de l’architecte ?
Question 3 :
Est-il éventuellement possible de poser les poutres actuellement entre le rez-de-chaussée et l’étage plus tard entre l’étage et le toit, ou cela n’apporte-t-il pas d’avantages supplémentaires (au niveau des coûts) car les charpentiers préfèrent préfabriquer beaucoup et le travail sur les poutres sur place serait même plus cher pour nous ?
Je vous serais reconnaissant pour votre retour !