BenjaminJ
08.01.2017 22:32:10
- #1
Bonjour forum,
comme c’est mon premier post ici, je me présente d’abord :
Je m’appelle Benjamin, j’ai 30 ans depuis quelques jours et la raison pour laquelle je me suis inscrit ici est que ma compagne et moi avons acheté une grande maison, construite généreusement en 1965 pour ensuite être tout aussi généreusement laissée à l’abandon. Dans ce cas précis, la situation est la suivante :
Nous rénovons actuellement la salle de bains. La maison a déjà reçu en 1965 un chauffage au sol ainsi qu’un chauffage mural partiel. La structure semble être la suivante :
- Chape
- Briques en argile ventilées, dans lesquelles les tuyaux en acier sont entourés de lamelles en aluminium
- 2 cm de liège
- Couche de sable
- Plafond en béton massif
Dans la salle de bains, une baignoire de 170x70 (en angle) était installée :

Comme je le trouve personnellement judicieux, la baignoire avec son support maçonné ne reposait pas sur la chape mais sur la dalle de sol, la chape étant donc découpée en conséquence (dimensions visibles grâce aux plinthes noires encore debout sur la photo). Cependant, nous souhaitons absolument installer une baignoire de 190x90, et logiquement l’ouverture dans la chape est maintenant plus petite que la baignoire elle-même. Il serait certes possible de poser les pieds directement sur la dalle de sol, mais la nouvelle baignoire doit aussi être surélevée, et ce support s’appuierait alors sur la chape. Je n’ai trouvé nulle part sur Internet une telle configuration, c’est soit tout sur la chape, soit tout sur la dalle de sol.
La question est donc la suivante :
Je ne sais pas exactement comment les tuyaux de chauffage sont posés. L’option A serait d’agrandir lentement et prudemment l’ouverture en cassant à un endroit pour déterminer où se trouve le tuyau en acier le plus proche dans le sol. S’il y a assez d’espace, agrandir l’ouverture et maçonner le support de la baignoire sur la dalle de sol.
L’option B serait, comme décrit plus haut, de poser la baignoire avec ses 4 pieds sur la dalle de sol et de maçonner le support sur la chape.
1) Y a-t-il une objection à l’option B si elle est correctement réalisée (je pense surtout ici à l’étanchéité, qui me paraît compliquée à cause de la chape qui travaille) ?
2) Comment puis-je / puis-je du tout assurer une bonne étanchéité dans les options A et B pour éviter des dégâts des eaux dans le sol ? C’est particulièrement problématique à cause des tuyaux en acier, je ne veux pas être confronté à cela, et je peux bien me passer d’un plafond d’atelier humide en dessous. J’ai néanmoins lu qu’une telle étanchéité serait disproportionnellement compliquée à réaliser lors du montage sur la dalle de sol.
Veuillez noter que les travaux correspondants seront également réalisés par des professionnels. Cependant, je souhaite m’informer à l’avance sur le sujet afin de pouvoir identifier les artisans qui ne travaillent pas correctement et garantir un bon résultat final.
Je serais très heureux de recevoir vos suggestions et conseils et vous souhaite d’avance un bon début de semaine de travail.
Cordialement,
Benjamin
comme c’est mon premier post ici, je me présente d’abord :
Je m’appelle Benjamin, j’ai 30 ans depuis quelques jours et la raison pour laquelle je me suis inscrit ici est que ma compagne et moi avons acheté une grande maison, construite généreusement en 1965 pour ensuite être tout aussi généreusement laissée à l’abandon. Dans ce cas précis, la situation est la suivante :
Nous rénovons actuellement la salle de bains. La maison a déjà reçu en 1965 un chauffage au sol ainsi qu’un chauffage mural partiel. La structure semble être la suivante :
- Chape
- Briques en argile ventilées, dans lesquelles les tuyaux en acier sont entourés de lamelles en aluminium
- 2 cm de liège
- Couche de sable
- Plafond en béton massif
Dans la salle de bains, une baignoire de 170x70 (en angle) était installée :
Comme je le trouve personnellement judicieux, la baignoire avec son support maçonné ne reposait pas sur la chape mais sur la dalle de sol, la chape étant donc découpée en conséquence (dimensions visibles grâce aux plinthes noires encore debout sur la photo). Cependant, nous souhaitons absolument installer une baignoire de 190x90, et logiquement l’ouverture dans la chape est maintenant plus petite que la baignoire elle-même. Il serait certes possible de poser les pieds directement sur la dalle de sol, mais la nouvelle baignoire doit aussi être surélevée, et ce support s’appuierait alors sur la chape. Je n’ai trouvé nulle part sur Internet une telle configuration, c’est soit tout sur la chape, soit tout sur la dalle de sol.
La question est donc la suivante :
Je ne sais pas exactement comment les tuyaux de chauffage sont posés. L’option A serait d’agrandir lentement et prudemment l’ouverture en cassant à un endroit pour déterminer où se trouve le tuyau en acier le plus proche dans le sol. S’il y a assez d’espace, agrandir l’ouverture et maçonner le support de la baignoire sur la dalle de sol.
L’option B serait, comme décrit plus haut, de poser la baignoire avec ses 4 pieds sur la dalle de sol et de maçonner le support sur la chape.
1) Y a-t-il une objection à l’option B si elle est correctement réalisée (je pense surtout ici à l’étanchéité, qui me paraît compliquée à cause de la chape qui travaille) ?
2) Comment puis-je / puis-je du tout assurer une bonne étanchéité dans les options A et B pour éviter des dégâts des eaux dans le sol ? C’est particulièrement problématique à cause des tuyaux en acier, je ne veux pas être confronté à cela, et je peux bien me passer d’un plafond d’atelier humide en dessous. J’ai néanmoins lu qu’une telle étanchéité serait disproportionnellement compliquée à réaliser lors du montage sur la dalle de sol.
Veuillez noter que les travaux correspondants seront également réalisés par des professionnels. Cependant, je souhaite m’informer à l’avance sur le sujet afin de pouvoir identifier les artisans qui ne travaillent pas correctement et garantir un bon résultat final.
Je serais très heureux de recevoir vos suggestions et conseils et vous souhaite d’avance un bon début de semaine de travail.
Cordialement,
Benjamin