Tu te trompes, Merlin. La HOAI prévaut probablement sur l'accord contractuel dans ce cas.
Si le maître d'ouvrage peut se dédouaner par ignorance du fait, cela peut éventuellement passer, mais ici il est bien documenté que le maître d'ouvrage court pratiquement à toute vitesse droit dans le piège.
Conclusion : Si l’architecte convient par ailleurs (prudence, on peut aussi se planter sérieusement avec des architectes, ça m’est arrivé. Réfléchis pourquoi il propose aussi bon marché, avec la conjoncture du bâtiment?! En dessous du tarif minimum... moi-même, je n’ai trouvé que peu d’architectes facturant au tarif moyen.) fais-le.
Le pire scénario est que le tarif minimum soit finalement appliqué et que tu doives payer. Que tu renonces maintenant en toute sécurité à la réduction de 20 % ou plus tard peut-être - alors plutôt plus tard peut-être, mais cet argent, je le mettrais de côté.
Eh bien, qu’un juge décide finalement si j’ai raison ou non. Je ne vais pas chercher de preuves vraiment probantes maintenant ; une recherche rapide sur Google m’a cependant conduit à ce qui suit.
En particulier, je n’ai jamais entendu parler d’un cas où le jugement ait pu imposer sa prétention.
Qu’un maître d’ouvrage "court à toute vitesse droit dans le piège" sera presque impossible à prouver.
@Aloadhio : Les honoraires minimum pour les architectes sont actuellement examinés pour savoir s’ils sont contraires au droit de l’UE.
