Blaine81
09.12.2015 21:51:14
- #1
Bonjour à tous,
désolé, cela va être un peu long maintenant, mais à mon avis c’est nécessaire pour pouvoir exposer la situation.
Nous avons engagé un accompagnement de chantier pour notre construction neuve au début de l’année, mais nous ne sommes pas vraiment satisfaits du déroulement de cet accompagnement jusqu’à présent :
Dès la vérification du descriptif des travaux, l’accompagnateur a relevé plusieurs points qui étaient soit économiquement insensés (par exemple la création d’une citerne), soit mentionnés ailleurs dans le descriptif, ou qui nous semblaient aller de soi (par exemple une remarque concernant l’absence de garde-corps dans la description de l’escalier).
En principe, l’accompagnateur avance assez vite des affirmations. Dans un cas concret, il s’agissait de l’adhésif Dryfix, que notre entreprise de construction utilise depuis quelques années au lieu du mortier pour la réalisation de la structure brute. Il a très vite affirmé que ce produit n’était pas homologué en Allemagne et que nous devions exiger cette homologation auprès de l’entrepreneur. Moi-même, je n’ai pas mis 5 minutes pour trouver sur le site du fabricant l’homologation DIBT correspondante. Plus tard, l’accompagnateur s’est plus ou moins justifié en disant que cette technique était plutôt inhabituelle en Allemagne et que beaucoup de maîtres d’ouvrage ne voulaient de toute façon pas de ces produits chimiques.
Lors de la première visite de la structure brute, un procès-verbal a été dressé, contenant également plusieurs affirmations que j’ai également soumises à l’entrepreneur. Ce dernier n’était pas très enthousiaste, mais a déjà abordé certains points par téléphone.
Exemples :
Ceci se retrouve tout au long du procès-verbal.
Quoi qu’il en soit, ma femme et moi sommes désormais assez incertains, à qui nous devons accorder le plus de crédit :
D’un côté l’accompagnateur (dont ma femme a eu un mauvais pressentiment dès le début), qui selon moi a peu de pratique, joue beaucoup avec les règlements et, à mon avis, va bien au-delà du nécessaire.
De l’autre côté l’entrepreneur, qui s’occupe avec beaucoup d’engagement de notre chantier, et ne nous facture même pas les retards (voir mon récent fil de discussion au sujet de la plainte du voisin).
Pour nous, simples profanes en technique du bâtiment, c’est en tout cas très difficile en ce moment de déterminer qui a raison, ou si l’accompagnement de chantier a encore un sens pour nous sous cette forme.
Auriez-vous un conseil sur la manière de gérer cette situation ? Et merci de m’avoir lu :-)
désolé, cela va être un peu long maintenant, mais à mon avis c’est nécessaire pour pouvoir exposer la situation.
Nous avons engagé un accompagnement de chantier pour notre construction neuve au début de l’année, mais nous ne sommes pas vraiment satisfaits du déroulement de cet accompagnement jusqu’à présent :
Dès la vérification du descriptif des travaux, l’accompagnateur a relevé plusieurs points qui étaient soit économiquement insensés (par exemple la création d’une citerne), soit mentionnés ailleurs dans le descriptif, ou qui nous semblaient aller de soi (par exemple une remarque concernant l’absence de garde-corps dans la description de l’escalier).
En principe, l’accompagnateur avance assez vite des affirmations. Dans un cas concret, il s’agissait de l’adhésif Dryfix, que notre entreprise de construction utilise depuis quelques années au lieu du mortier pour la réalisation de la structure brute. Il a très vite affirmé que ce produit n’était pas homologué en Allemagne et que nous devions exiger cette homologation auprès de l’entrepreneur. Moi-même, je n’ai pas mis 5 minutes pour trouver sur le site du fabricant l’homologation DIBT correspondante. Plus tard, l’accompagnateur s’est plus ou moins justifié en disant que cette technique était plutôt inhabituelle en Allemagne et que beaucoup de maîtres d’ouvrage ne voulaient de toute façon pas de ces produits chimiques.
Lors de la première visite de la structure brute, un procès-verbal a été dressé, contenant également plusieurs affirmations que j’ai également soumises à l’entrepreneur. Ce dernier n’était pas très enthousiaste, mais a déjà abordé certains points par téléphone.
Exemples :
[*]ventilation manquante de l’évacuation par le toit : celle-ci n’est pas absente, elle est simplement encore cachée sous l’isolation de l’étage supérieur. Elle sera finalisée.
[*]gainages vides ouverts dans le grenier : ceux-ci seront encore fermés, car les travaux électriques ne sont pas encore terminés (le câblage Sat manque encore)
Ceci se retrouve tout au long du procès-verbal.
Quoi qu’il en soit, ma femme et moi sommes désormais assez incertains, à qui nous devons accorder le plus de crédit :
D’un côté l’accompagnateur (dont ma femme a eu un mauvais pressentiment dès le début), qui selon moi a peu de pratique, joue beaucoup avec les règlements et, à mon avis, va bien au-delà du nécessaire.
De l’autre côté l’entrepreneur, qui s’occupe avec beaucoup d’engagement de notre chantier, et ne nous facture même pas les retards (voir mon récent fil de discussion au sujet de la plainte du voisin).
Pour nous, simples profanes en technique du bâtiment, c’est en tout cas très difficile en ce moment de déterminer qui a raison, ou si l’accompagnement de chantier a encore un sens pour nous sous cette forme.
Auriez-vous un conseil sur la manière de gérer cette situation ? Et merci de m’avoir lu :-)