Bonjour "FelixPrüfer". Malheureusement, il ne m’est pas toujours possible de répondre rapidement. J’avais déjà souligné qu’une expertise technique est nécessaire pour maîtriser l’infiltration d’eau sous l’escalier. Sans vouloir revenir en détail sur les réponses ou propositions précédentes : Si l’on pose quelque chose (étanche) sur l’escalier, il faut forcément aussi se demander comment assurer une liaison étanche avec les éléments adjacents. D’après tes photos, il s’agit d’une part de la surface murale ascendante et d’autre part de l’étanchéité entre les marches et la surface murale descendante. Réponse : presque impossible ! Appliquer du béton sur les anciennes marches est certainement la solution la plus absurde parmi les approches (absurdes) envisageables ! Car ce ne sera sûrement pas du béton que l’on peut appliquer (granulométrie du matériau 16 mm à 32 mm, épaisseur minimale posée 3 x granulométrie = 48 mm à 96 mm) et les matériaux minéraux ne sont pas étanches à l’eau pénétrante. En raison de la (relativement mauvaise) densification de la masse de mortier lors de la pose manuelle, il vaut mieux laisser tomber et donner l’argent destiné aux achats de matériaux à une association caritative. Une construction correcte consisterait à dégager le support porteur (c’est malheureusement le béton de la structure statique de l’escalier) et à soumettre la liaison latérale à l’édifice à une vérification et à une étanchéité. C’est d’ailleurs un domaine classique des couvreurs (même si cela peut paraître grotesque au premier abord) ! On t’expliquerait aussi ici que l’étanchéité horizontale dans la surface murale ascendante doit être protégée contre la pénétration latérale d’eau par un dispositif de retenue. Un sujet très vaste, qui ne peut certainement pas être réglé avec de la "mastic pour fenêtres" (comme l’a suggéré une réponse). ------------------- Cordialement : KlaRa