polokrausi
22.10.2014 17:35:31
- #1
Bonjour à tous,
une chose avant tout : je suis un parfait néophyte en construction et je me suis inscrit ici par grand désespoir afin d’obtenir un avis objectif.
Actuellement, nous planifions l’aménagement des combles de notre maison construite en 1982. Le toit est en bois, avec une membrane bitumineuse et des tuiles par-dessus. La maçonnerie est en briques de 36,5 cm avec une isolation extérieure en polystyrène expansé de 4 cm obligatoire à l’époque.
La gouttière est orientée vers la charpente - donc pas d’échange d’air actuellement.
Les chevrons ont une épaisseur de 18 cm.
Actuellement, l’espace sous le toit est totalement non isolé.
Dans le cadre de la rénovation, l’isolation extérieure du toit doit être réalisée pour respecter la valeur 0,24 selon la réglementation sur l’économie d’énergie.
Mon concepteur envisage une isolation ventilée entre chevrons avec 16 cm de matériau d’isolation WLG 035 et en plus 8 cm de WLG 035 en isolation au-dessus des chevrons devant la cloison sèche. Le tout avec un frein vapeur. Il faudrait créer des ouvertures dans les murs pour la ventilation.
Le plaquiste de confiance m’a dit personnellement qu’il ne ferait pas de ventilation à cet endroit et, aussi dans l’intérêt du gain d’espace, qu’il isolerait uniquement avec 18 cm de WLG 035 - le tout avec une membrane climatique. Son calcul indique qu’avec cela on atteint une valeur de 0,22 ce qui serait suffisant. De plus, il a inspecté le toit et constaté par mesure qu’il est parfaitement étanche. Il estime donc que dans cette configuration sa solution est la plus judicieuse. Je lui ai aussi dit que je ne voulais pas faire d’excès d’isolation.
Les autres calculs n’ont révélé aucun problème en rapport avec le point de rosée ou autre. Il voit plutôt le problème qu’une ventilation ajoutée ultérieurement ferait subir au toit existant une charge accrue en humidité (à cause de l’humidité de l’air extérieur).
Valeurs calculées avec cette variante d’isolation :
U = 0,224
Atténuation TA 11,8 (pas parfaite mais pas un problème)
Qu’en pensez-vous ? Que devrais-je faire ? Je suis pris entre deux approches et ne peux pas juger techniquement qui a raison ou tort. En ce qui concerne les coûts, la solution de l’architecte est environ deux fois plus chère. Je cherche aussi la solution avec laquelle je n’aurai certainement pas de problèmes liés à la mérule, moisissures ou autres.
Merci pour votre aide,
un rénovateur désespéré - Matthias
une chose avant tout : je suis un parfait néophyte en construction et je me suis inscrit ici par grand désespoir afin d’obtenir un avis objectif.
Actuellement, nous planifions l’aménagement des combles de notre maison construite en 1982. Le toit est en bois, avec une membrane bitumineuse et des tuiles par-dessus. La maçonnerie est en briques de 36,5 cm avec une isolation extérieure en polystyrène expansé de 4 cm obligatoire à l’époque.
La gouttière est orientée vers la charpente - donc pas d’échange d’air actuellement.
Les chevrons ont une épaisseur de 18 cm.
Actuellement, l’espace sous le toit est totalement non isolé.
Dans le cadre de la rénovation, l’isolation extérieure du toit doit être réalisée pour respecter la valeur 0,24 selon la réglementation sur l’économie d’énergie.
Mon concepteur envisage une isolation ventilée entre chevrons avec 16 cm de matériau d’isolation WLG 035 et en plus 8 cm de WLG 035 en isolation au-dessus des chevrons devant la cloison sèche. Le tout avec un frein vapeur. Il faudrait créer des ouvertures dans les murs pour la ventilation.
Le plaquiste de confiance m’a dit personnellement qu’il ne ferait pas de ventilation à cet endroit et, aussi dans l’intérêt du gain d’espace, qu’il isolerait uniquement avec 18 cm de WLG 035 - le tout avec une membrane climatique. Son calcul indique qu’avec cela on atteint une valeur de 0,22 ce qui serait suffisant. De plus, il a inspecté le toit et constaté par mesure qu’il est parfaitement étanche. Il estime donc que dans cette configuration sa solution est la plus judicieuse. Je lui ai aussi dit que je ne voulais pas faire d’excès d’isolation.
Les autres calculs n’ont révélé aucun problème en rapport avec le point de rosée ou autre. Il voit plutôt le problème qu’une ventilation ajoutée ultérieurement ferait subir au toit existant une charge accrue en humidité (à cause de l’humidité de l’air extérieur).
Valeurs calculées avec cette variante d’isolation :
U = 0,224
Atténuation TA 11,8 (pas parfaite mais pas un problème)
Qu’en pensez-vous ? Que devrais-je faire ? Je suis pris entre deux approches et ne peux pas juger techniquement qui a raison ou tort. En ce qui concerne les coûts, la solution de l’architecte est environ deux fois plus chère. Je cherche aussi la solution avec laquelle je n’aurai certainement pas de problèmes liés à la mérule, moisissures ou autres.
Merci pour votre aide,
un rénovateur désespéré - Matthias