ms-t-89
19.03.2020 11:02:26
- #1
Merci pour les nombreuses réponses !
Je me suis posé hier soir et j’ai examiné les recommandations. Il a été suggéré 100-150 lm/m². Pour la cuisine, 250-300 lm/m². J’ai ensuite calculé cela selon les mètres carrés respectifs et divisé par 400 lm (à titre d’exemple) par LED.
L’îlot de cuisine doit maintenant recevoir des suspensions, car les LEDs au plafond pourraient être insuffisantes pour cuisiner.
Il semble qu’il n’y ait pas de concepteur lumière chez nous ou dans les environs proches, ce n’est pas une question d’argent. Je dois trouver une solution sans concepteur lumière.
Ah, c’est vrai, j’ai toujours parlé de spots, mais cela peut être un point important. Quels spots encastrés avez-vous installés ? Je veux vraiment me pencher sur la question, mais on lit tellement de choses contradictoires...
Pour le plafond du rez-de-chaussée, pas de plafond préfabriqué. Au sous-sol oui, mais là nous avons dit que les luminaires normaux suffisent. Concernant les interrupteurs, cela sera de toute façon piloté plus tard via KNX. Nous avons prévu différents circuits que je veux commander via des interrupteurs en verre MDT. Et si je répartis cela dès le départ, je pourrai toujours les regrouper plus tard via KNX, mais je serai plus flexible. Merci encore pour la remarque.
Éclairage général, pas d’éclairage indirect ou autre. Une lampe sur pied sera mise, mais seulement comme « déco ».
Je trouve aussi que 21 spots, c’est vraiment beaucoup.
Je me suis posé hier soir et j’ai examiné les recommandations. Il a été suggéré 100-150 lm/m². Pour la cuisine, 250-300 lm/m². J’ai ensuite calculé cela selon les mètres carrés respectifs et divisé par 400 lm (à titre d’exemple) par LED.
L’îlot de cuisine doit maintenant recevoir des suspensions, car les LEDs au plafond pourraient être insuffisantes pour cuisiner.
Si vous travaillez exclusivement avec des spots encastrés, je vous conseillerais d’aller voir un concepteur lumière. Il peut faire la simulation. Cela coûte environ 500-700 euros, selon la taille de l’objet. Tu vas te faire beaucoup de soucis si tu oublies quelque chose ici ou si le plafond ressemble à la fin à quelqu’un qui aurait tiré avec une mitrailleuse.
Il semble qu’il n’y ait pas de concepteur lumière chez nous ou dans les environs proches, ce n’est pas une question d’argent. Je dois trouver une solution sans concepteur lumière.
Il est important de définir à l’avance quels spots encastrés – probablement pas des spots mais des modèles pour un éclairage diffus – vous voulez utiliser, car cela détermine où et combien de boîtiers d’encastrement vous devez prévoir. Si vous prenez les cadres d’encastrement simples avec des ampoules GU10, il y en aura en général (beaucoup) plus que pour des modèles haut de gamme, car ces derniers ont simplement plus de puissance.
Juste à titre indicatif : pour une surface similaire salon/salle à manger, nous avons quatre au-dessus de la table à manger et quatre au-dessus du canapé/table basse, qui peuvent être commandés par groupes de deux spots. Au niveau de la plus faible intensité, on a un éclairage d’ambiance agréable, et à pleine puissance, c’est éblouissant. Je prévoirais probablement encore trois dans le couloir et un dans le vestiaire et un dans les WC. Pour la cuisine, nous n’avons pas pris de spots encastrés afin que la source lumineuse soit plus basse et de plus mieux orientée. Il y a toutefois en tout huit luminaires plus des éclairages sous les éléments suspendus.
Si vous n’avez absolument aucun plan et pas envie de vous renseigner un peu sur la matière (flux lumineux, luminosité, angle d’émission, hauteur du plafond, planification visuelle, ...), il serait judicieux de consulter un concepteur lumière.
Ah, c’est vrai, j’ai toujours parlé de spots, mais cela peut être un point important. Quels spots encastrés avez-vous installés ? Je veux vraiment me pencher sur la question, mais on lit tellement de choses contradictoires...
Bonjour MS-t-89
Avez-vous un plafond préfabriqué ou en béton coulé sur place ?
Pour des pièces plus grandes, comme le salon, je répartirais toujours l’éclairage sur 3 interrupteurs.
Disons 6 unités de chaque côté long. Donc 12 au total. Puis 2 de chaque côté étroit. 16 au total. Tu les allumes les uns après les autres. Au centre, une autre rangée, commandée séparément.
Chez moi, j’ai encore 3 devant la fenêtre, eux aussi commandés par un interrupteur séparé. Ils sont équipés de 3 watts pour une lumière un peu bleutée. C’est agréable pour regarder la télévision.
On peut varier à l’infini.
Steven
Pour le plafond du rez-de-chaussée, pas de plafond préfabriqué. Au sous-sol oui, mais là nous avons dit que les luminaires normaux suffisent. Concernant les interrupteurs, cela sera de toute façon piloté plus tard via KNX. Nous avons prévu différents circuits que je veux commander via des interrupteurs en verre MDT. Et si je répartis cela dès le départ, je pourrai toujours les regrouper plus tard via KNX, mais je serai plus flexible. Merci encore pour la remarque.
La question qui se pose est de savoir si tu veux un éclairage général comme avec des lampes de plafond normales et/ou un éclairage d’accentuation que l’on installe généralement à 20-30 cm devant le mur.
Éclairage général, pas d’éclairage indirect ou autre. Une lampe sur pied sera mise, mais seulement comme « déco ».
Cela va sans doute clarifier l’importance de la définition des luminaires. Si j’ai bien compté chez Steven, ce sont 21 spots pour le séjour/salle à manger. Ce serait simplement excessif – et vraiment beaucoup.
Autre point : les spots encastrés au plafond sont probablement seulement prévus pour l’éclairage général. Cela est complété par un éclairage d’accentuation (lampadaire, applique murale, ...). Tenez-en compte dans votre planification.
Je trouve aussi que 21 spots, c’est vraiment beaucoup.