Exigences minimales pour l'état de la route

  • Erstellt am 24.08.2017 07:29:08

toxicmolotof

25.08.2017 08:36:19
  • #1
La question à côté de « qui doit s'en occuper » est toujours aussi « qui paie ». Et si on a de la chance, la réponse est : le riverain.

Néanmoins, on devrait pouvoir accéder à son terrain. Éventuellement changer de type de véhicule ?
 

Egon12

25.08.2017 11:50:00
  • #2
Mais n'oubliez pas que les riverains sont fortement concernés par les coûts en cas de rénovation obligatoire de la rue..... fortement signifie, selon le règlement d'aménagement de la voirie et les conditions locales, une valeur à cinq chiffres.

Peut-être devriez-vous vous contenter d'une amélioration uniquement avec du gravillon.
 

11ant

25.08.2017 13:08:51
  • #3

Les routes allemandes ne sont parfois supportables qu'en SUV ;-)



La description ressemble à une rue de riverains (?) – il pourrait être possible et moins cher de la laisser publique, mais de se faire déléguer par la commune en tant qu'association de voisins pour en assurer l'entretien en propre. Il suffit d'adresser les bonnes personnes – dans presque chaque conseil municipal, on trouve aussi parfois des gens qui ne sont pas stupides.
 

Traumfaenger

25.08.2017 23:31:26
  • #4

Est-ce ta théorie ou as-tu déjà pu observer cela dans la pratique ? À mon avis, ce sont majoritairement des fonctionnaires et des employés du service public, car d’autres ne peuvent tout simplement pas consacrer autant de temps (de travail) pour s'engager au conseil municipal :-D Il suffit de regarder les professions des représentants du peuple. *je me dérobe*
 

11ant

26.08.2017 00:14:19
  • #5
Oui, c'est mon observation pratique - et ton ressenti n'est pas correct à ma connaissance en ce qui concerne les conseillers municipaux (c'est-à-dire les parlementaires au niveau de la commune, de la communauté de communes et du département), mais concerne en grande partie les maires bénévoles de commune. L'ampleur nécessaire de leur mise en disponibilité est en fait presque uniquement supportée par des employeurs publics. Dans les conseils municipaux, on trouve plus fréquemment des employés des secteurs sociaux (et des organismes religieux), des avocats, des agents d'assurance et des retraités. De plus, des ménagères (pratiquement uniquement là-bas, presque plus dans les parlements régionaux) et, en commun avec le Bundestag, des enseignants. Les fonctionnaires administratifs sont naturellement plutôt rares, sauf ceux de la police, ainsi que de nombreux employés civils de la Bundeswehr. Chaque groupe dispose d'un président et d'un secrétaire général, donc de deux penseurs, et échange lors des réunions de groupe. Pourtant, certains membres du conseil ont toujours du mal à utiliser leur propre cerveau. Et c'est précisément par eux qu'on peut effectivement infiltrer leur groupe avec des idées réalistes.
 
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