La récupération d'humidité dans la ventilation contrôlée des logements est-elle judicieuse ?

  • Erstellt am 04.12.2015 14:54:10

Ebbi_82

21.12.2015 11:51:01
  • #1
# Mycraft:

Lors du choix des installations, je dois te donner raison, bien qu'il y ait d’énormes différences de prix entre les échangeurs de chaleur. Pour mon Paul Novus 300, l’un coûte environ 800 euros (donc pas tout à fait la moitié), tandis que chez d’autres fabricants, cela peut coûter presque le double.

Je sais aussi que l’air ne devient pas plus humide, mais l’effet d’un échangeur géothermique, qui rend l’air plus sec en été et donc plus agréable, est atténué. Je ferais plutôt condenser l’humidité dans l’échangeur de chaleur eau glycolée (ou air) pour ensuite la "réhumidifier" dans l’appareil. Cela n’a pas de sens pour moi...

En hiver, toutes les installations de ventilation assèchent les maisons. Cela arrive aussi si j’aère correctement par les fenêtres. Avec un échangeur de chaleur humide, l’effet n’est-il pas simplement retardé au final ?!?

Si tu t’es déjà penché plus en détail sur le sujet, peux-tu peut-être me dire, en plus de l’eau, ce qui est récupéré par ces membranes spéciales ? Je sais que cela dépend de la taille des molécules qui passent.
 

Sebastian79

21.12.2015 12:09:35
  • #2
Les membranes sont revêtues et tuent tous les germes/bactéries - l'air ne sera pas plus contaminé que ton air inspiré de l'extérieur.

Et pourquoi l'effet devrait-il être retardé - les personnes dans la maison transpirent/res-pirent, ainsi cette humidité de l'air est en partie récupérée.
 

Mycraft

21.12.2015 20:11:24
  • #3
Donc, si un échangeur de chaleur coûte presque la moitié de la nouvelle installation... à mes yeux, c’est tout simplement absurde de faire installer d’abord un sans récupération d’humidité, puis plus tard un avec... c’est juste du gaspillage d’argent... mais bon, on apprend de ses erreurs, comme on dit...

La membrane contient une forte proportion de sel ut absorbe la vapeur d’eau comme une éponge. Du côté de l’air froid, l’eau s’évapore à la surface de la membrane et est prise par le flux d’air plus sec. Le sel est chimiquement lié au matériau de la membrane et ne se dissout pas dans l’eau, ni ne s’en lave.
La membrane transporte les molécules d’eau en raison de leur constante diélectrique élevée (non-conductrice) et de leurs petites dimensions. Les microorganismes ne peuvent pas pénétrer dans la membrane à cause de leurs tailles plus grandes comparées à celles de l’eau. De plus, la haute concentration de sel dans la membrane agit de manière antibactérienne. Les bactéries, levures, moisissures et tous les microorganismes meurent à la surface de la membrane.
 

Cascada

22.12.2015 16:08:06
  • #4
Alors, je considère les échangeurs de chaleur enthalpiques comme tout à fait superflus.

Nous avons également eu le problème d’un air un peu sec. J’ai simplement réduit le taux de renouvellement d’air, c’est-à-dire attribué d’autres vitesses de rotation aux différentes étapes de ventilation.

Ainsi, en hiver froid/sec, nous atteignons 40-45 % au lieu de 30-35 % d’humidité relative.
 

Mycraft

23.12.2015 01:25:30
  • #5
Chaque personne est différente... pour l’un, les 30 % ne posent aucun problème et l’autre pleure déjà à 40... nous nous débrouillons aussi assez bien avec un simple échangeur de chaleur, par exemple, mais lorsque l’on s’approche des 30 %, je souhaite tout de même parfois une récupération d’humidité... mais ce ne sont généralement que quelques jours par an...
 

RFR

23.12.2015 07:44:02
  • #6


Et pour les quelques jours par an, nous avons un petit humidificateur d'air mobile. Il se trouve généralement dans la chambre à coucher et fonctionne un certain temps avant d'aller dormir.
Madame a quelques problèmes avec l'air sec à cause de ses allergies et d'autres petites choses.
 

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