Danton
08.05.2009 18:58:28
- #1
Bonjour ABG-Geschädigter,
les experts mandatés ont-ils déjà examiné la diffusion de la vapeur d'eau pour la construction de la paroi extérieure utilisée et réalisé un calcul du point de rosée ?
Dans la mesure du possible, une construction de paroi extérieure devrait être de l'intérieur vers l'extérieur de plus en plus perméable à la diffusion. Ici, il semble cependant que des plaques isolantes en polystyrène aient été collées directement sur les panneaux de particules. Cela présente le risque qu'il y ait une condensation au dos des plaques isolantes, qui ne semblent pas non plus très épaisses (peut-être 4 ou 6 cm ?). Cela sous la condition que l'humidité de l'air intérieur ou l'humidité extérieure pénètre dans la construction. Cela entraîne alors à long terme la formation de pourriture et de moisissure.
Comme un tel défaut de construction n'est pas reconnaissable par un acheteur de maison, je classerais cela au sens propre du terme comme un soi-disant « vice caché ». À ma connaissance, pour ce genre de défauts, le fabricant doit répondre bien au-delà de la période normale de garantie.
En dernier recours, je réfléchirais aussi à une plainte pénale pour coups et blessures (atteinte à la santé due à une infestation de champignons). Dans ce cas, le parquet enquêterait, cela ne coûte pas d'honoraires d'avocat, mais durcit considérablement les positions.
Cordialement
Danton
Ingenieur- und Planungsbüro
Dipl.-Ing. Thomas Brandenburg
Beratender Ingenieur und Bausachverständiger
Versicherungsfachmann (Bauwerkvertrag)
les experts mandatés ont-ils déjà examiné la diffusion de la vapeur d'eau pour la construction de la paroi extérieure utilisée et réalisé un calcul du point de rosée ?
Dans la mesure du possible, une construction de paroi extérieure devrait être de l'intérieur vers l'extérieur de plus en plus perméable à la diffusion. Ici, il semble cependant que des plaques isolantes en polystyrène aient été collées directement sur les panneaux de particules. Cela présente le risque qu'il y ait une condensation au dos des plaques isolantes, qui ne semblent pas non plus très épaisses (peut-être 4 ou 6 cm ?). Cela sous la condition que l'humidité de l'air intérieur ou l'humidité extérieure pénètre dans la construction. Cela entraîne alors à long terme la formation de pourriture et de moisissure.
Comme un tel défaut de construction n'est pas reconnaissable par un acheteur de maison, je classerais cela au sens propre du terme comme un soi-disant « vice caché ». À ma connaissance, pour ce genre de défauts, le fabricant doit répondre bien au-delà de la période normale de garantie.
En dernier recours, je réfléchirais aussi à une plainte pénale pour coups et blessures (atteinte à la santé due à une infestation de champignons). Dans ce cas, le parquet enquêterait, cela ne coûte pas d'honoraires d'avocat, mais durcit considérablement les positions.
Cordialement
Danton
Ingenieur- und Planungsbüro
Dipl.-Ing. Thomas Brandenburg
Beratender Ingenieur und Bausachverständiger
Versicherungsfachmann (Bauwerkvertrag)