Bonjour,
....apparemment, les banques veulent déjà avoir la preuve d'économie d'énergie au moment de la demande de financement, du moins si l'on souhaite prendre en compte la part KfW153.
Cela est logique et pas surprenant, car les parts subventionnées du besoin total peuvent considérablement réduire la part de revenus propre de la banque concernée.
Théoriquement, de nombreux projets de construction pourraient être réalisés entièrement sans autre participation bancaire après déduction du capital propre ou de la part de l'auto-prestation, car il n'y a pas d'interdiction de cumul pour les programmes 153, 143 ! Malheureusement, les prêts subventionnés ne peuvent toutefois pas être obtenus sans banque « relais », car la voie directe est exclue. La part garantie rémunérée pour le rang subordonné des prêts subventionnés est généralement trop faible pour les banques « relais ». Elles essaient d’augmenter leur part propre, selon le taux d’endettement, avec un risque minimal.
Il ne faut pas oublier non plus que l’évaluation du risque (taux d’intérêt réel) des prêts subventionnés est effectuée par la banque « relais » !
..., mais plutôt : atteindrons-nous KfW55 ou pas. Comme les coûts de la certification KfW55 ne correspondent probablement pas aux économies grâce à la subvention pour remboursement, et que le KfW40 ne sera pas atteint, se pose la question de savoir comment raccourcir utilement le temps jusqu'à l'établissement des dossiers de demande de financement. La certification KfW55 serait alors supprimée...
Fondamentalement, il faut différencier entre la rentabilité
réelle et les « cadeaux »
prétendus de la subvention.
Construire une maison passive dans un site extrêmement doux est sûrement économiquement insensé, surtout si l’on essaie presque désespérément d’atteindre ce statut d’efficacité avec un investissement excessif !
Cela vaut de même pour des conditions cadres différentes. Construire un KfW 70 au sommet de la Zugspitze est tout aussi insensé !
...Faut-il plutôt calculer de manière conservatrice/prudente, .... et d’abord voir ce que l’on atteindra au final avant d’envoyer la demande ?
La manière dont on calcule correctement dépend des compétences, de la formation, pour maîtriser le processus global.
Sans connaître les besoins réels (performance, énergie) pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire du projet spécifique, presque toute affirmation relève de la voyance et constitue ainsi un risque économique global inconnu !
Cordialement