Cigarette électronique jetable jetée dans la maçonnerie

  • Erstellt am 29.09.2023 18:19:56

derbassist

29.09.2023 22:17:42
  • #1
Il serait également douteux que l'entrepreneur puisse simplement nier que la cigarette électronique a été introduite là par un de ses ouvriers... en théorie, n'importe qui peut se procurer un accès et y éliminer ses déchets spéciaux.
 

ypg

29.09.2023 23:12:44
  • #2

Et ensuite, que doit-il se passer ? « Bonjour Monsieur GU, l’entreprise sous-traitante Maurer ou quelqu’un d’autre a jeté ses déchets (cigarettes électroniques) dans les pierres. »
Tu crois que le GU va faire « Dududu » ou mettre en demeure l’entreprise ?
Il faut être un peu plus ferme avec les conséquences. Mon avis.
Mais tu as raison : il faut dire quelque chose avant d’avoir un désavantage qu’on ne pourra plus prouver plus tard.

On est en quelque sorte un peu seul face à une telle « broutille ».
Je pense qu’on ne peut agir que par des voies directes. Visiter le chantier pendant le travail, voir qui fume ces vapoteuses et ensuite faire un scandale bruyant devant tout le monde pendant la pause-café. On peut préparer ses mots et discours. Éventuellement venir verbalement avec l’ADN et la police. Isolation, ponts thermiques, dommage économique, irresponsabilité et stupidité… Cela ne marche toutefois chez la plupart qu’en théorie. Mais on peut toujours essayer, se fixer cet objectif ;)

Concernant le danger : je ne peux pas imaginer qu’il puisse se passer quelque chose quand c’est emballé hermétiquement. Cependant, c’est un sacrilège pour l’environnement, ce qui peut agacer.
 

Allthewayup

29.09.2023 23:22:11
  • #3

Le sac en papier contribue peut-être partiellement à une meilleure valeur U, mais je n'en suis vraiment pas fan :-D
Plus sérieusement.

Adressez-vous poliment mais fermement à l'entrepreneur en construction à propos de votre découverte et demandez-lui de vous aider à ce que les briques restent dans leur état d'usine, c'est-à-dire qu'elles ne reçoivent pas d'autres charges sur place.

J'ai cessé de compter combien de seaux de déchets j'ai moi-même éliminés jusqu'à présent. Vous vous y habituez simplement, et c'est tout. Beaucoup d'entreprises n'osent même plus réprimander leurs employés à ce sujet par peur qu'ils le prennent personnellement et aillent voir ailleurs – du moins c'est mon impression.

Les plâtriers ont nettoyé leurs tuyaux sur un sol jusque-là non contaminé, ils ont jeté les résidus du revêtement bi-composant à côté de la trappe de lumière, renversé l'apprêt restant devant la porte d'entrée, essuyé du silicone, etc. sur les briques, et bien sûr beaucoup d'autres choses encore. À un moment donné, on fait simplement le ménage soi-même. Je ne peux plus entendre la phrase « c'est un chantier, pas une salle d'opération ». Celui qui ne peut plus distinguer un chantier d'une décharge n'a de toute façon plus rien à faire ici.
 

xMisterDx

30.09.2023 15:44:04
  • #4
Bien sûr, il peut le nier. Dans une construction ouverte, tout le monde peut se promener. Je m'étonne encore aujourd'hui qu'à la fin de la crise profonde des matériaux de construction fin 2021/début 2022, rien n'ait disparu chez nous.

Faire du bruit... cela devrait peu intéresser les ouvriers. Dans le meilleur des cas on récolte des éclats de rire, dans le pire on prend un coup.

Et soyons honnêtes. Où d'autre les nettoyeurs pourraient-ils nettoyer leur bazar ? Les peintres vont aussi nettoyer leurs rouleaux dans ton évier... quand ils conduiront pendant une heure à l'entreprise avec, l'outil sera foutu.
 

guckuck2

30.09.2023 17:35:45
  • #5
Les gens, c’est un chantier et pas une salle blanche.

Celui qui engueule les maçons comme une furie peut aussi bien commander sa construction sur Wish.
 

Allthewayup

30.09.2023 21:11:11
  • #6
Que diriez-vous du container que les plâtriers ont fait livrer spécialement pour leurs surplus de plâtre ? Ce devait être peut-être 20 ou 30 litres de saleté grand maximum, ils auraient encore eu de la place là-dedans. Mais non, le sol du Z0 avait l’air si accueillant. J’ai dû transporter cette saleté aujourd’hui à la pelle et à la brouette pour que la décharge accepte encore le reste.

Il y a environ 18 ans, lorsque j’ai déposé une truelle pleine de plâtre durci à l’extérieur sur le chantier, l’architecte m’a immédiatement expulsé du chantier. Aujourd’hui, je sais que c’était justifié. Quand je travaille sur un chantier, je m’occupe aussi de mes déchets en fin de journée ou je réfléchis dans le cadre de mes processus de travail à la manière de gérer les déchets générés. Alors si c’est déjà trop demandé, je ne sais pas. Cette excuse générale du genre « c’est un chantier, pas autre chose » est vraiment éculée. Partout une hystérie pour la protection du climat, mais sur le chantier, toute la saleté est jetée et versée dans l’herbe. L’essentiel, c’est que l’efficacité énergétique du bâtiment soit parfaite sur le papier, ce qui s’est passé avant pendant la construction de ce bâtiment, personne ne s’en soucie.
 

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