Ricarda
31.08.2021 15:06:49
- #1
Bonjour à tous,
après avoir malheureusement peu progressé avec la recherche, je souhaite vous demander conseil.
Il y a 25 ans, nous avons acheté en NRW une maison individuelle d’un étage et demi avec un garage attenant à droite et à gauche, sur un terrain de 600 m², situé en zone rurale. Les terrains situés à droite et à gauche étaient non bâtis à cette époque.
Nos garages ainsi que le mur de clôture de 1,05 m de hauteur attenant de chaque côté sont construits jusqu’à la limite, mais sur notre terrain. Le véritable jardin se trouve à l’arrière de notre maison et est entouré de la même clôture sur toutes les faces, également à la limite mais sur notre terrain.
Le terrain de droite a été construit quelques années plus tard avec une maison individuelle et un garage également à la limite. Le terrain de gauche est resté en friche jusqu’à présent.
Le terrain de gauche est en cours de construction. Le couple maître d’ouvrage est novice, la maison est construite par une entreprise de construction. J’ai rencontré le couple par hasard et échangé quelques mots avant le début des travaux. Il est prévu de construire une maison individuelle sans sous-sol, avec un garage qui doit être accolé sur le côté à notre garage. Jusqu’ici tout va bien.
J’ai déjà eu des différends avec le conducteur de la pelle mécanique car il a arraché une grande partie de notre mur de clôture, près de la base, avec la godet de la pelle, chez la voisine aussi. Interrogé à ce sujet, il a tout nié. Néanmoins, le maître d’ouvrage a depuis donné une promesse orale de faire refaire l’enduit aux endroits concernés.
Je me suis également fait des inimitiés en lui demandant à plusieurs reprises de ne pas stationner sa pelle de 33 tonnes juste devant le terrain en construction (sur le futur trottoir), mais sur le terrain même.
La raison est que sous le soi-disant trottoir (devant notre maison, réalisé en sable et graviers) passe une canalisation pour un ruisseau qui est généralement à sec, mais qui transporte quand même pas mal d’eau en cas de fortes pluies. La canalisation (entrée du ruisseau) commence exactement à notre terrain, continue sous le trottoir et rejoint assez loin un réservoir de récupération des eaux pluviales.
Il y a environ 30 ans, il y a eu des inondations ici, d’où la construction de cette canalisation. Elle se trouve à environ 70 cm sous la surface du sol (OK terrain) et est grise. Quand 33 tonnes sont posées dessus, je n’ai pas bonne impression. (J’ai moi-même vécu une inondation il y a quelques années ailleurs, où un petit ruisseau est devenu un torrent furieux à cause de fortes pluies, ravageant tout autour.)
Le conducteur de la pelle a minimisé en disant que le tuyau supporterait. Les deux plaques d’acier (trop courtes) posées pour répartir la charge n’aident pas beaucoup.
Mais si la canalisation s’effondre devant le terrain en construction, l’eau s’accumulera juste devant notre terrain (à cause du sens de l’écoulement). Après avoir embêté le conducteur de la pelle trois jours de suite, la pelle est désormais stationnée sur le terrain en construction avec son poids, espérons-le pour l’avenir aussi.
Il y a quelques jours, le niveau du terrain du jardin du nouveau bâtiment a été relevé d’environ 40 à 50 cm avec de la terre creusée sur place, le reste ayant été évacué. Le niveau du terrain chez la voisine à gauche du nouveau terrain est donc maintenant naturellement plus bas que le nôtre.
Cette voisine a sur sa longue limite de jardin une clôture en panneaux cimentés avec film occultant. Hier, elle m’a raconté que l’élévation de 40 à 50 cm du terrain du nouveau jardin devait apparemment être soutenue par des pierres le long de son panneau, mais elle n’était pas bien sûre de la réalisation ni si elle avait bien compris (état : hier soir).
Voici maintenant le problème : de notre côté avec le mur de jardin, la terre a simplement été déversée contre notre mur de clôture du côté jardin prévu avec le niveau surélevé au moyen de la pelle.
Je l’ai vu par hasard. Une discussion directe avec le conducteur de la pelle sur les dégâts potentiels d’humidité qui en découleraient pour notre mur de jardin n’a guère eu de succès. J’avais exprimé mes inquiétudes concernant l’humidité du sol pénétrant dans le mur, la pluie, le gel et le risque de décollement de l’enduit du mur.
Le lendemain, la maîtresse d’ouvrage est venue sur le chantier avec deux rouleaux de film à bulles, ce dont j’ai de nouveau seulement été informé par hasard. Je lui ai de nouveau expliqué mes craintes.
Le conducteur de la pelle voulait ensuite, après avoir enlevé à nouveau la terre contre le mur, poser un simple film à bulles avec la face à bosses contre le mur et remettre la terre contre le mur. Il pensait que l’eau de pluie pourrait s’écouler entre les bosses et que celles-ci assureraient aussi une ventilation derrière le mur.
Je lui ai fait remarquer que l’eau de pluie ne pourrait pas bien s’écouler entre les bosses et le mur. Le mur ne pourrait plus sécher à cet endroit. En hiver, la neige s'appuierait également sur le bord supérieur du film à bulles.
Le mur n’a pas de couverture en haut, donc il resterait humide derrière ce film car le vent ne pourrait pas atteindre le mur.
La maîtresse d’ouvrage désorientée a promis un appel de son mari le soir même, qui malheureusement n’est pas encore arrivé. Au lieu de cela, son mari est passé brièvement le lendemain matin sur le chantier, m’a dit un voisin, et a apparemment aussi regardé la situation du mur. Pas d’échange n’a eu lieu. Je ne l’ai pas vu et il n’a pas sonné.
Hier, le conducteur de la pelle a posé deux rouleaux de film à bulles avec la face à bosses contre le mur et a poussé la terre contre avec sa pelle. J’ai malheureusement vu le désastre seulement hier soir.
Le mur a une fondation plus étroite (probablement en béton). Sur cette base, des blocs creux (semblables à du pouzzolane et plus larges que la fondation) ont été maçonnés à l’époque.
À un endroit où le ciment (de coffrage) a éclaté l’hiver dernier, j’ai pu voir tout cela très clairement. Et oui, cet endroit sera réparé avant cet hiver.
À l’intérieur du mur, on peut voir de dessus les cavités internes des blocs (en pouzzolane), à l’extérieur, une couche de ciment de 15 mm d’épaisseur a été appliquée. Toutefois, des empreintes légères de planches de coffrage sont visibles à l’extérieur.
À mon avis, le mur de jardin va souffrir de dégâts.
Malheureusement, le couple n’a pas pris contact de lui-même. Mes inquiétudes exposées amicalement ont été prises en compte, mais apparemment pas prises totalement au sérieux.
Je suis reconnaissante pour tout conseil !
Bien à vous,
Ricarda



après avoir malheureusement peu progressé avec la recherche, je souhaite vous demander conseil.
Il y a 25 ans, nous avons acheté en NRW une maison individuelle d’un étage et demi avec un garage attenant à droite et à gauche, sur un terrain de 600 m², situé en zone rurale. Les terrains situés à droite et à gauche étaient non bâtis à cette époque.
Nos garages ainsi que le mur de clôture de 1,05 m de hauteur attenant de chaque côté sont construits jusqu’à la limite, mais sur notre terrain. Le véritable jardin se trouve à l’arrière de notre maison et est entouré de la même clôture sur toutes les faces, également à la limite mais sur notre terrain.
Le terrain de droite a été construit quelques années plus tard avec une maison individuelle et un garage également à la limite. Le terrain de gauche est resté en friche jusqu’à présent.
Le terrain de gauche est en cours de construction. Le couple maître d’ouvrage est novice, la maison est construite par une entreprise de construction. J’ai rencontré le couple par hasard et échangé quelques mots avant le début des travaux. Il est prévu de construire une maison individuelle sans sous-sol, avec un garage qui doit être accolé sur le côté à notre garage. Jusqu’ici tout va bien.
J’ai déjà eu des différends avec le conducteur de la pelle mécanique car il a arraché une grande partie de notre mur de clôture, près de la base, avec la godet de la pelle, chez la voisine aussi. Interrogé à ce sujet, il a tout nié. Néanmoins, le maître d’ouvrage a depuis donné une promesse orale de faire refaire l’enduit aux endroits concernés.
Je me suis également fait des inimitiés en lui demandant à plusieurs reprises de ne pas stationner sa pelle de 33 tonnes juste devant le terrain en construction (sur le futur trottoir), mais sur le terrain même.
La raison est que sous le soi-disant trottoir (devant notre maison, réalisé en sable et graviers) passe une canalisation pour un ruisseau qui est généralement à sec, mais qui transporte quand même pas mal d’eau en cas de fortes pluies. La canalisation (entrée du ruisseau) commence exactement à notre terrain, continue sous le trottoir et rejoint assez loin un réservoir de récupération des eaux pluviales.
Il y a environ 30 ans, il y a eu des inondations ici, d’où la construction de cette canalisation. Elle se trouve à environ 70 cm sous la surface du sol (OK terrain) et est grise. Quand 33 tonnes sont posées dessus, je n’ai pas bonne impression. (J’ai moi-même vécu une inondation il y a quelques années ailleurs, où un petit ruisseau est devenu un torrent furieux à cause de fortes pluies, ravageant tout autour.)
Le conducteur de la pelle a minimisé en disant que le tuyau supporterait. Les deux plaques d’acier (trop courtes) posées pour répartir la charge n’aident pas beaucoup.
Mais si la canalisation s’effondre devant le terrain en construction, l’eau s’accumulera juste devant notre terrain (à cause du sens de l’écoulement). Après avoir embêté le conducteur de la pelle trois jours de suite, la pelle est désormais stationnée sur le terrain en construction avec son poids, espérons-le pour l’avenir aussi.
Il y a quelques jours, le niveau du terrain du jardin du nouveau bâtiment a été relevé d’environ 40 à 50 cm avec de la terre creusée sur place, le reste ayant été évacué. Le niveau du terrain chez la voisine à gauche du nouveau terrain est donc maintenant naturellement plus bas que le nôtre.
Cette voisine a sur sa longue limite de jardin une clôture en panneaux cimentés avec film occultant. Hier, elle m’a raconté que l’élévation de 40 à 50 cm du terrain du nouveau jardin devait apparemment être soutenue par des pierres le long de son panneau, mais elle n’était pas bien sûre de la réalisation ni si elle avait bien compris (état : hier soir).
Voici maintenant le problème : de notre côté avec le mur de jardin, la terre a simplement été déversée contre notre mur de clôture du côté jardin prévu avec le niveau surélevé au moyen de la pelle.
Je l’ai vu par hasard. Une discussion directe avec le conducteur de la pelle sur les dégâts potentiels d’humidité qui en découleraient pour notre mur de jardin n’a guère eu de succès. J’avais exprimé mes inquiétudes concernant l’humidité du sol pénétrant dans le mur, la pluie, le gel et le risque de décollement de l’enduit du mur.
Le lendemain, la maîtresse d’ouvrage est venue sur le chantier avec deux rouleaux de film à bulles, ce dont j’ai de nouveau seulement été informé par hasard. Je lui ai de nouveau expliqué mes craintes.
Le conducteur de la pelle voulait ensuite, après avoir enlevé à nouveau la terre contre le mur, poser un simple film à bulles avec la face à bosses contre le mur et remettre la terre contre le mur. Il pensait que l’eau de pluie pourrait s’écouler entre les bosses et que celles-ci assureraient aussi une ventilation derrière le mur.
Je lui ai fait remarquer que l’eau de pluie ne pourrait pas bien s’écouler entre les bosses et le mur. Le mur ne pourrait plus sécher à cet endroit. En hiver, la neige s'appuierait également sur le bord supérieur du film à bulles.
Le mur n’a pas de couverture en haut, donc il resterait humide derrière ce film car le vent ne pourrait pas atteindre le mur.
La maîtresse d’ouvrage désorientée a promis un appel de son mari le soir même, qui malheureusement n’est pas encore arrivé. Au lieu de cela, son mari est passé brièvement le lendemain matin sur le chantier, m’a dit un voisin, et a apparemment aussi regardé la situation du mur. Pas d’échange n’a eu lieu. Je ne l’ai pas vu et il n’a pas sonné.
Hier, le conducteur de la pelle a posé deux rouleaux de film à bulles avec la face à bosses contre le mur et a poussé la terre contre avec sa pelle. J’ai malheureusement vu le désastre seulement hier soir.
Le mur a une fondation plus étroite (probablement en béton). Sur cette base, des blocs creux (semblables à du pouzzolane et plus larges que la fondation) ont été maçonnés à l’époque.
À un endroit où le ciment (de coffrage) a éclaté l’hiver dernier, j’ai pu voir tout cela très clairement. Et oui, cet endroit sera réparé avant cet hiver.
À l’intérieur du mur, on peut voir de dessus les cavités internes des blocs (en pouzzolane), à l’extérieur, une couche de ciment de 15 mm d’épaisseur a été appliquée. Toutefois, des empreintes légères de planches de coffrage sont visibles à l’extérieur.
À mon avis, le mur de jardin va souffrir de dégâts.
Malheureusement, le couple n’a pas pris contact de lui-même. Mes inquiétudes exposées amicalement ont été prises en compte, mais apparemment pas prises totalement au sérieux.
Je suis reconnaissante pour tout conseil !
Bien à vous,
Ricarda